Investing.com - La livre a bondi lundi contre le dollar et le yen, l'appétit des investisseurs pour le risque s'étant vu aiguisé par l'accord des dirigeants de la zone euro sur le secours à apporter à une Grèce plombée par le poids de sa dette trouvé la semaine dernière.
La paire GBP/USD est montée à 1.4977 à l'ouverture des places européennes, prenant 0.53%. Le couple avait des chances de rencontrer de la résistance à 1.5382, pic du 17 mars, et du soutien à 1.4781, son creux du 1er mars.
Les Banque d'Angleterre doit publier les chiffres mensuels de ses prêts aux particuliers et de ses approbations d'hypothèques au cours de la journée.
L'économiste en chef de la banque centrale, Spencer Dale, doit également prendre la parole lors d'un débat à Londres. Les traders décortiqueront ses propos pour en extraire des indices sur d'éventuels changements de politique monétaire à venir.
La livre progressait cependant également face au yen, le change GBP/JPY atteignant 138.8 en prenant 0.69%.
La semaine dernière, les nations de la zone euro et le Fonds Monétaire International se sont engagés à aider la Grèce à combler le plus gros déficit de la région si elle ne trouvait pas de solutions sur les marchés financiers.
La paire GBP/USD est montée à 1.4977 à l'ouverture des places européennes, prenant 0.53%. Le couple avait des chances de rencontrer de la résistance à 1.5382, pic du 17 mars, et du soutien à 1.4781, son creux du 1er mars.
Les Banque d'Angleterre doit publier les chiffres mensuels de ses prêts aux particuliers et de ses approbations d'hypothèques au cours de la journée.
L'économiste en chef de la banque centrale, Spencer Dale, doit également prendre la parole lors d'un débat à Londres. Les traders décortiqueront ses propos pour en extraire des indices sur d'éventuels changements de politique monétaire à venir.
La livre progressait cependant également face au yen, le change GBP/JPY atteignant 138.8 en prenant 0.69%.
La semaine dernière, les nations de la zone euro et le Fonds Monétaire International se sont engagés à aider la Grèce à combler le plus gros déficit de la région si elle ne trouvait pas de solutions sur les marchés financiers.