Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, s'effondrant par rapport à son homologue nippon, après que son émettrice n'ait pas écarté la possibilité d'une réduction de ses injections de liquidités, entraînant une ruée vers les valeurs refuge, la croissance mondiale se trouvant remise en doute par les résultats chinois et européens.
En fin de première partie de séance européenne, il continuait à fléchir devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,57% pour se retrouver à 101,52.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité économique conjoint, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
Il avait auparavant été montré que le secteur manufacturier chinois avait subi en mai sa première contraction en sept mois.
Un rapport avait ainsi révélé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, est ainsi passé des 50,4 définitifs d'avril vers 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,18% pour grimper à 1,2880, été souligné que les domaines secondaire et tertiaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient mieux tiré leur épingle du jeu en mai qu'espéré.
Le baromètre de l'activité des usines régionales est ainsi passé de 46,7 après révision à 47,8 au lieu des 47,0 envisagés, demeurant cependant en territoire négatif.
Celui des prestataires de services frémissait pour sa part depuis 47,0 vers 47,5, alors que les experts ne pensaient pas le voir dépasser 47,2.
Son équivalent portant sur les industries de l'Allemagne n'était pas en reste, s'élevant des 48,1 précédents jusqu'à 49,0, son plus haut niveau en deux mois dans le même temps.
Le billet vert a cependant mieux résisté à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,13% pour se hisser à 1,5071.
Une étude oficielle avait confirmé dans la matinée que l'économie britannique avait connu une croissance de 0,3% au premier trimestre, et de 0,6% d'une année sur l'autre.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 1,11% pour tomber à 0,9691.
La monnaie des Etats-Unis s'est par ailleurs retrouvée dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD sombrant de 0,07% pour toucher le fond à 0,9674, le NZD/USD arrachant 0,13% pour culminer à 0,8085 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0342.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,39% pour se situer à 84,02.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté présenter en fin de journée leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume de leurs ventes de logements neufs.
En fin de première partie de séance européenne, il continuait à fléchir devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,57% pour se retrouver à 101,52.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité économique conjoint, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet rappelé qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
Il avait auparavant été montré que le secteur manufacturier chinois avait subi en mai sa première contraction en sept mois.
Un rapport avait ainsi révélé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, est ainsi passé des 50,4 définitifs d'avril vers 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,18% pour grimper à 1,2880, été souligné que les domaines secondaire et tertiaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient mieux tiré leur épingle du jeu en mai qu'espéré.
Le baromètre de l'activité des usines régionales est ainsi passé de 46,7 après révision à 47,8 au lieu des 47,0 envisagés, demeurant cependant en territoire négatif.
Celui des prestataires de services frémissait pour sa part depuis 47,0 vers 47,5, alors que les experts ne pensaient pas le voir dépasser 47,2.
Son équivalent portant sur les industries de l'Allemagne n'était pas en reste, s'élevant des 48,1 précédents jusqu'à 49,0, son plus haut niveau en deux mois dans le même temps.
Le billet vert a cependant mieux résisté à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,13% pour se hisser à 1,5071.
Une étude oficielle avait confirmé dans la matinée que l'économie britannique avait connu une croissance de 0,3% au premier trimestre, et de 0,6% d'une année sur l'autre.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 1,11% pour tomber à 0,9691.
La monnaie des Etats-Unis s'est par ailleurs retrouvée dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD sombrant de 0,07% pour toucher le fond à 0,9674, le NZD/USD arrachant 0,13% pour culminer à 0,8085 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0342.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,39% pour se situer à 84,02.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté présenter en fin de journée leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume de leurs ventes de logements neufs.