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Investing.com - L’incertitude maximale concernant l’agenda tarifaire du président américain Donald Trump est probablement passée, selon Barclays (LON:BARC), alors que la banque devient la dernière de Wall Street à relever son objectif de fin d’année pour l’indice de référence S&P 500.
Les analystes de la société de courtage indiquent désormais que l’indice devrait terminer 2025 à 6.050 points, contre une estimation précédente de 5.900 points. Le S&P 500 a clôturé mardi à 5.970,37 points.
Barclays rejoint ainsi la liste des prêteurs qui ont revu à la hausse leurs prévisions pour le S&P 500 ces derniers jours, notamment Goldman Sachs (NYSE:GS), Deutsche Bank (ETR:DBKGn) et UBS Global Wealth Management.
Dans une note adressée à leurs clients, les stratèges de Barclays ont indiqué que l’espoir de voir s’éclaircir les perspectives assombries par les tarifs douaniers de Trump a entraîné "une hausse supplémentaire des valorisations". Une évolution progressive vers une fiscalité et une réglementation plus accommodantes est également attendue.
Pour 2026, Barclays a dévoilé un objectif de 6.700 points pour le S&P 500, arguant que la croissance des bénéfices par action des entreprises l’année prochaine devrait soutenir "une hausse continue" de l’indice.
Néanmoins, les analystes ont signalé que certains vents contraires liés aux tarifs douaniers persistent probablement.
Selon des rapports médiatiques, les responsables de l’administration Trump ont donné aux pays jusqu’à mercredi pour présenter leurs meilleures offres de négociations concernant les tarifs douaniers "réciproques" renforcés des États-Unis. Le délai accordé pour ces droits d’importation punitifs, annoncés pour la première fois lors d’un événement "Jour de Libération" en avril, expire début juillet.
Pendant ce temps, malgré des indications montrant que Washington est ouvert aux pourparlers commerciaux, Trump a de nouveau intensifié sa pression tarifaire, cette fois en doublant le taux des droits sur la plupart des importations d’acier et d’aluminium à 50%.
Trump a signé une proclamation exécutive augmentant les tarifs douaniers tard mardi, donnant suite à une menace surprise lancée la semaine dernière. Ces droits entreront en vigueur dès mercredi.
Il a soutenu que ces tarifs dissuaderont le dumping de ces matières premières aux États-Unis par d’autres pays et renforceront également la compétitivité des producteurs d’acier américains. Les produits dérivés de l’acier et de l’aluminium seront également soumis à ces taxes commerciales élevées.
Dans ce contexte, les taux d’intérêt restent également élevés en raison des préoccupations concernant les perspectives budgétaires américaines, tandis que les risques d’un éventuel recul des dépenses de consommation demeurent, ont averti les analystes de Barclays.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.