Lanterne rouge du SBF 120, le titre CGG abandonne 7,3% à 9 euros vers midi. Le groupe parapétrolier spécialisé dans l'ingénierie sismique, qui a perdu 28,7% depuis le début de l'année après un exercice boursier 2013 déjà difficile, pâtit de l'avertissement sur résultat de Fugro, qui plonge pour sa part de 19,5% à 32,8 euros à Amsterdam.
L'entreprise néerlandaise, qui entraîne dans son sillage toutes les valeurs du secteur (Technip accuse notamment la plus forte baisse du CAC 40 avec un recul de 3,9% à 75,6 euros), a prévenu que ses comptes semestriels seront inférieurs aux attentes à cause de l'affaiblissement des marchés du gaz et de l'or noir.
Ce phénomène tient sa source dans l'érosion des dépenses d'investissements des compagnies pétrolières et de divers désagréments techniques.
Fugro, qui publiera ses comptes des six premiers mois le 11 août prochain, a fait savoir qu'il inscrira une dépréciation de 300 à 350 millions d'euros, en particulier sur sa branche sismique, et anticipe à présent une marge d'Ebit en deçà des 10% cette année, contre 11,4% à l'issue du premier semestre 2013.
Les avertissements sur résultat sont devenus monnaie courante ces derniers mois dans le secteur parapétrolier. Dernier en date : celui de Vallourec mi-juin, consécutif à la décision du groupe public brésilien Petrobras de supprimer l'essentiel de ses stocks de tubes.
CGG, qui en avait lancé deux quasiment coup sur coup en fin d'année dernière, reste de son côté sur une perte nette de 39 millions d'euros au premier trimestre, contre un bénéfice net de 79 millions un an auparavant.
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L'entreprise néerlandaise, qui entraîne dans son sillage toutes les valeurs du secteur (Technip accuse notamment la plus forte baisse du CAC 40 avec un recul de 3,9% à 75,6 euros), a prévenu que ses comptes semestriels seront inférieurs aux attentes à cause de l'affaiblissement des marchés du gaz et de l'or noir.
Ce phénomène tient sa source dans l'érosion des dépenses d'investissements des compagnies pétrolières et de divers désagréments techniques.
Fugro, qui publiera ses comptes des six premiers mois le 11 août prochain, a fait savoir qu'il inscrira une dépréciation de 300 à 350 millions d'euros, en particulier sur sa branche sismique, et anticipe à présent une marge d'Ebit en deçà des 10% cette année, contre 11,4% à l'issue du premier semestre 2013.
Les avertissements sur résultat sont devenus monnaie courante ces derniers mois dans le secteur parapétrolier. Dernier en date : celui de Vallourec mi-juin, consécutif à la décision du groupe public brésilien Petrobras de supprimer l'essentiel de ses stocks de tubes.
CGG, qui en avait lancé deux quasiment coup sur coup en fin d'année dernière, reste de son côté sur une perte nette de 39 millions d'euros au premier trimestre, contre un bénéfice net de 79 millions un an auparavant.
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