Investing.com - Le dollar U.S. était en net recul face à un yen largement renforcé ce lundi, tombant dans un creux des quatre derniers jours de cotation alors que la crainte d'une aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro poussait les investisseurs vers les valeurs sûres.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 76.76 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 6 septembre, puis s'est stabilisée vers 76.84, perdant tout de même 0.95%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 76.29, son plancher du 11 août, et de rencontrer de la résistance à 77.58, son plafond d'aujourd'hui.
L'angoisse d'un défaut de paiement grec avait également été attisée par les rumeurs propagées par les médias selon lesquelles le gouvernement allemand aurait prévu d'isoler son secteur bancaire d'un éventuel manquement aux obligations du pays surendetté.
La démission de Juergen Stark, un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, la semaine dernière, avait quand à elle souligné les divisions des décideurs concernant la manière d'aborder le problème.
La demande pour le yen en tant que refuge a également augmenté en raison de l'intervention de la Banque Nationale Suisse sur la même période, destinées à réduire l'attrait de sa monnaie pour les investisseurs épris de sécurité.
La devise du pays du soleil levant a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dégringolant de 1.55% pour plonger à 104.27.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devrait quand à elle discuter avec Jose Manuel Barroso, président de la commision européenne, des difficultés liées au surendettement.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 76.76 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 6 septembre, puis s'est stabilisée vers 76.84, perdant tout de même 0.95%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 76.29, son plancher du 11 août, et de rencontrer de la résistance à 77.58, son plafond d'aujourd'hui.
L'angoisse d'un défaut de paiement grec avait également été attisée par les rumeurs propagées par les médias selon lesquelles le gouvernement allemand aurait prévu d'isoler son secteur bancaire d'un éventuel manquement aux obligations du pays surendetté.
La démission de Juergen Stark, un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, la semaine dernière, avait quand à elle souligné les divisions des décideurs concernant la manière d'aborder le problème.
La demande pour le yen en tant que refuge a également augmenté en raison de l'intervention de la Banque Nationale Suisse sur la même période, destinées à réduire l'attrait de sa monnaie pour les investisseurs épris de sécurité.
La devise du pays du soleil levant a également gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dégringolant de 1.55% pour plonger à 104.27.
Angela Merkel, la chancelière allemande, devrait quand à elle discuter avec Jose Manuel Barroso, président de la commision européenne, des difficultés liées au surendettement.