Investing.com - Le dollar U.S. est demeuré en berne face à tous ses plus gros concurrents ce mardi, après que des indices des directeurs des achats de la Chine et de la zone euro aient encouragé la demande pour les investissements les plus risqués, le tirant ainsi vers le bas.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.72% pour grimper à 1.4464.
L'indice des directeurs des achats du domaine manufacturier de la zone euro est en effet descendu de 50.4 vers 49.7 en août, alors que les experts craignaient qu'il ne tombe à 49.5, et pour le secteur tertiaire, il a seulement trébuché de 51.6 à 51.5 dans le même temps, au lieu de plonger à 50.7 comme prédit.
Des chiffres matinaux avaient également indiqué que l'indice manufacturier allemand était resté stable à 52 en août, contredisant les spécialistes dont certains anticipaient un recul vers 50.8.
La devise européenne a largement négligé la publication d'une étude mettant en évidence une forte baisse de l'indicateur ZEW de l'optimisme concernant l'économie allemande sur le mois d'août, les craintes concernant les perspectives de croissance économique mondiales restant prépondérantes.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.36% pour se hisser à 1.6513.
Il avait été auparavant fignalé que les commandes auprès des usines britanniques avaient augmenté de manière imprévue ce mois-ci, et que les accords de prêts hypothécaires avaient atteint un sommet annuel en juillet.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.33% pour se retrouver à 76.54 et l'USD/CHF glissant de 0.29% pour tomber à 0.7878.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, avait insisté ce matin sur sa "forte volonté" de protéger l'économie nationale, largement tournée vers l'export, en écoulant des réserves de la devise nationale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.33% pour aller vers 0.9869, l'AUD/USD raflant 0.91% pour monter à 1.0503 et le NZD/USD engrangeant 1.11% pour culminer à 0.8332.
La première estimation de l'indice des directeurs des achats chinois, divulguée plus tôt a mis en évidence une progression modeste à 49.8 sur le mois, contre une valeur corrigée à 49.3 pour le précédent.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement, mais la nouvelle a rassuré les observateurs, dont certains redoutaient une nette dégringolade.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.63% pour chuter à 73.76.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler en cours de journée le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.72% pour grimper à 1.4464.
L'indice des directeurs des achats du domaine manufacturier de la zone euro est en effet descendu de 50.4 vers 49.7 en août, alors que les experts craignaient qu'il ne tombe à 49.5, et pour le secteur tertiaire, il a seulement trébuché de 51.6 à 51.5 dans le même temps, au lieu de plonger à 50.7 comme prédit.
Des chiffres matinaux avaient également indiqué que l'indice manufacturier allemand était resté stable à 52 en août, contredisant les spécialistes dont certains anticipaient un recul vers 50.8.
La devise européenne a largement négligé la publication d'une étude mettant en évidence une forte baisse de l'indicateur ZEW de l'optimisme concernant l'économie allemande sur le mois d'août, les craintes concernant les perspectives de croissance économique mondiales restant prépondérantes.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.36% pour se hisser à 1.6513.
Il avait été auparavant fignalé que les commandes auprès des usines britanniques avaient augmenté de manière imprévue ce mois-ci, et que les accords de prêts hypothécaires avaient atteint un sommet annuel en juillet.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.33% pour se retrouver à 76.54 et l'USD/CHF glissant de 0.29% pour tomber à 0.7878.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, avait insisté ce matin sur sa "forte volonté" de protéger l'économie nationale, largement tournée vers l'export, en écoulant des réserves de la devise nationale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.33% pour aller vers 0.9869, l'AUD/USD raflant 0.91% pour monter à 1.0503 et le NZD/USD engrangeant 1.11% pour culminer à 0.8332.
La première estimation de l'indice des directeurs des achats chinois, divulguée plus tôt a mis en évidence une progression modeste à 49.8 sur le mois, contre une valeur corrigée à 49.3 pour le précédent.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement, mais la nouvelle a rassuré les observateurs, dont certains redoutaient une nette dégringolade.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.63% pour chuter à 73.76.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler en cours de journée le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.