Afin d'obtenir l'approbation des autorités antitrust de l'Union européenne pour leur projet de fusion de 34 milliards de dollars, Bunge, un négociant en grains américain, et Viterra, soutenu par Glencore, ont proposé de vendre des actifs dans deux pays de l'Union européenne. Cette décision intervient alors que les entreprises cherchent à répondre aux préoccupations soulevées par les autorités de régulation de la concurrence de l'UE.
L'offre de cession de certains actifs a été soumise à la Commission européenne jeudi, comme l'indique une mise à jour du site web de l'exécutif européen. Bien que cette mise à jour ne précise pas les détails des actifs en question, elle marque une étape importante franchie par Bunge et Viterra pour faire avancer le processus de fusion.
Initialement, Bunge et Viterra avaient pour objectif d'obtenir l'approbation inconditionnelle de l'UE à la suite d'un examen préliminaire par les régulateurs. Toutefois, les préoccupations ultérieures de l'autorité de concurrence de l'UE concernant des questions européennes spécifiques ont incité les entreprises à proposer cette mesure corrective.
La fusion, évaluée à 34 milliards de dollars, a fait l'objet d'un examen minutieux de la part de l'UE, qui évalue l'impact potentiel sur la concurrence dans la région. En proposant de vendre des actifs dans deux pays de l'UE, Bunge et Viterra démontrent leur volonté de se conformer aux exigences réglementaires afin de garantir la réussite de leur fusion. La décision de la Commission européenne sur la question de savoir si les cessions proposées suffiront à apaiser les craintes en matière d'ententes et d'abus de position dominante n'a pas encore été prise.
Reuters a contribué à cet article.Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.