Investing.com - Les bourses européennes étaient à la baisse ce mercredi, le secteur financier ayant été mis à mal par l'inquiétude portant sur les notations monétaires de certains membres de la périphérie de la zone euro, les indices de options sur les valeurs américaines pointant vers une ouverture à la baisse.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.35%, le CAC 40 français 0.2% et le DAX allemand 0.38%.
Concernant la finance, les prêteurs se sont retrouvés sous la pression de la peur de nouveaux abaissements de la notation monétaire des dettes de l'Espagne et de l'Irlande, suite aux rumeurs d'une dégradation par Moody's du triple A dont bénéficie la première en fin de semaine.
Du côté irlandais, le gouverneur de la banque centrale du pays a annoncé en fin de journée de mardi que les banques locales "étaient parmi les plus touchées par la crise mondiale", sur fond de bruits de diminution de la note de accordée à l'Anglo Irish Bank par Standard & Poor's.
Dans le secteur commercial, les actions de H&M, second plus gros revendeur vestimentaire d'Europe, se sont effondrées de 5.91% après diffusion de la nouvelle d'une hausse décevante des profits au troisième trimestre, la compagnie ayant davantage investi dans ses produits afin d'augmenter la croissance des ventes.
A Londres, le FTSE 100 a perdu 0.29%, les parts de Barclays ayant dévissé de 1.41%, et celles de HSBC, la plus grosse compagnie indexée, ayant glissé de 1.5%. Celles de la Royal Bank of Scotland ayant quand à elles laissé échapper 1.77%.
Le plus gros faux pas de l'indice reste cependant au passif de Vedanta Resources, ayant sombré de 4.87% après qu'une cour indienne ait rendu un arrêt ordonnant la fermeture d'une fonderie de cuivre pour cause de problèmes de pollution.
Le futur des marchés américains s'annonçait terne: les options sur le Dow Jones prévoyaient une régression de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à seulement 0.09%.
Les données dévoilées mardi avaient montré que la confiance américaine était tombée plus bas en septembre que prévu, les consommateurs ne voyant pas venir d'éclaircie sur le marché du travail.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.35%, le CAC 40 français 0.2% et le DAX allemand 0.38%.
Concernant la finance, les prêteurs se sont retrouvés sous la pression de la peur de nouveaux abaissements de la notation monétaire des dettes de l'Espagne et de l'Irlande, suite aux rumeurs d'une dégradation par Moody's du triple A dont bénéficie la première en fin de semaine.
Du côté irlandais, le gouverneur de la banque centrale du pays a annoncé en fin de journée de mardi que les banques locales "étaient parmi les plus touchées par la crise mondiale", sur fond de bruits de diminution de la note de accordée à l'Anglo Irish Bank par Standard & Poor's.
Dans le secteur commercial, les actions de H&M, second plus gros revendeur vestimentaire d'Europe, se sont effondrées de 5.91% après diffusion de la nouvelle d'une hausse décevante des profits au troisième trimestre, la compagnie ayant davantage investi dans ses produits afin d'augmenter la croissance des ventes.
A Londres, le FTSE 100 a perdu 0.29%, les parts de Barclays ayant dévissé de 1.41%, et celles de HSBC, la plus grosse compagnie indexée, ayant glissé de 1.5%. Celles de la Royal Bank of Scotland ayant quand à elles laissé échapper 1.77%.
Le plus gros faux pas de l'indice reste cependant au passif de Vedanta Resources, ayant sombré de 4.87% après qu'une cour indienne ait rendu un arrêt ordonnant la fermeture d'une fonderie de cuivre pour cause de problèmes de pollution.
Le futur des marchés américains s'annonçait terne: les options sur le Dow Jones prévoyaient une régression de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à seulement 0.09%.
Les données dévoilées mardi avaient montré que la confiance américaine était tombée plus bas en septembre que prévu, les consommateurs ne voyant pas venir d'éclaircie sur le marché du travail.