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Investing.com — Jamie Dimon, PDG de JPMorgan Chase (NYSE:JPM), anticipe une volatilité persistante sur les marchés, selon ses récentes déclarations. Il a également exprimé son optimisme quant au potentiel de son entreprise à créer une banque numérique de premier plan.
Lors d’une interview, Dimon a souligné les multiples incertitudes dans le paysage mondial, notamment la situation en Ukraine, les problèmes au Moyen-Orient, en Iran, et les déficits importants. Il a également évoqué le projet de loi fiscale, les tarifs douaniers et les négociations en cours entre l’Union européenne et le Royaume-Uni comme sources de volatilité. Malgré ces défis, il s’attend à ce que JPMorgan navigue à travers cette volatilité.
Dimon a également évoqué la concurrence des nouveaux entrants non bancaires dans le secteur financier. Il ne considère pas cela comme un problème, affirmant que ces concurrents sont également des clients et très compétents. Il estime que la concurrence est bénéfique pour le monde et que toutes les grandes banques sont de retour dans la course.
Le PDG a aussi abordé les perspectives de banque numérique de l’entreprise. Il pense que JPMorgan a la possibilité de construire une excellente banque numérique, en tirant parti de la marque, de la recherche et du bilan de l’entreprise. Il a également fait allusion à de possibles capacités futures, comme permettre aux clients de transférer de l’argent entre différentes succursales internationales de la banque à l’aide de leurs téléphones.
Sur le sujet du télétravail, Dimon a réitéré sa position selon laquelle cela ne fonctionne pas pour tout le monde. Il estime que l’entreprise sera meilleure et les employés plus heureux avec un retour au bureau. Il a noté que l’entreprise n’avait pas constaté d’attrition supplémentaire suite à ses précédents commentaires sur le sujet.
Dimon a conclu ses remarques en exprimant son point de vue sur l’économie américaine. Il s’en remet aux économistes de l’entreprise, qui donnent 50% de chances à une récession. Il a souligné que si une récession pourrait survenir, l’ampleur et la durée restent incertaines. Il a également mentionné le déficit important des États-Unis, qui s’élève à près de 2 billions de dollars, soit 6% ou 7% du PIB, le plus grand déficit en temps de paix jamais enregistré. Il estime que cela pourrait entraîner un risque de taux à long terme plus élevés et un dollar plus faible, ce qui pourrait ralentir la croissance.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.