Futures Pros - La semaine passée aura vu les options sur le brut tomber mardi dans leur pire ornière des 5 dernières semaines, avant de rattraper leurs pertes après que des résultats américains aient ravivé l'optimisme concernant la reprise économique du pays.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 83.86 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, bondissant de 2.06% en cours de semaine.
Les cours se sont effondrés mardi vers leur plus bas niveau depuis le 21 octobre, la frilosité ayant été exacerbée à la suite d'une escarmouche militaire dans la péninsule coréenne et les craintes concernant une contagion par la crise de la dette souveraine des membres vulnérables de la zone euro.
Ils ont toutefois rebondi de 3.8% mercredi après que des chiffres officiels venus des Etats-Unis aient indiqué une chute des nouvelles inscriptions au chômage vers leur niveau le plus bas depuis juillet 2008 au cours de la semaine précédente. Une autre étude a également montré un pic du moral des consommateurs pour novembre et que les dépenses individuelles avaient connu en octobre leur quatrième mois de hausse consécutif.
Ces bonnes nouvelles ont alimenté l'optimisme concernant la reprise économique du pays, lequel reste le premier consommateur mondial de pétrole.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a également annoncé dans son rapport hebdomadaire que les réserves nationales de brut avaient connu 1 million de barils d'augmentation inattendue lors de la semaine achevée le 19 novembre, alors que les experts s'attendaient à une diminution de 1.9 millions de barils de leur part.
Le document précisait également que la demande nationale pour l'or noir avait également progressé dans le même temps, atteignant 19.1 millions de barils par jour, soit 2.4% de plus qu'à la même période en 2009.
Les prix du pétrole ont ensuite vu leur gains rabotés sur fond de rumeurs selon lesquelles le Portugal et l'Espagne seraient les prochaine membres de la zone euro à appeler au secours et de hausse de l'instabilité géopolitique dans la péninsule coréenne.
La bourse aux futures de Shanghaï a également annoncé vendredi qu'elle allait augmenter les marges exigées concernant le pétrole et les autres matiières premières, dans le but de juguler l'inflation et de ralentir la spéculation portant dessus.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2010-2011.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier se sont quand à elles situées à 4.411 USD par million d'unités thermiques britanniques à la fermeture des marchés de vendredi, engrangeant 1.97% en cours de semaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 83.86 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, bondissant de 2.06% en cours de semaine.
Les cours se sont effondrés mardi vers leur plus bas niveau depuis le 21 octobre, la frilosité ayant été exacerbée à la suite d'une escarmouche militaire dans la péninsule coréenne et les craintes concernant une contagion par la crise de la dette souveraine des membres vulnérables de la zone euro.
Ils ont toutefois rebondi de 3.8% mercredi après que des chiffres officiels venus des Etats-Unis aient indiqué une chute des nouvelles inscriptions au chômage vers leur niveau le plus bas depuis juillet 2008 au cours de la semaine précédente. Une autre étude a également montré un pic du moral des consommateurs pour novembre et que les dépenses individuelles avaient connu en octobre leur quatrième mois de hausse consécutif.
Ces bonnes nouvelles ont alimenté l'optimisme concernant la reprise économique du pays, lequel reste le premier consommateur mondial de pétrole.
L'agence américaine d'information sur l'énergie a également annoncé dans son rapport hebdomadaire que les réserves nationales de brut avaient connu 1 million de barils d'augmentation inattendue lors de la semaine achevée le 19 novembre, alors que les experts s'attendaient à une diminution de 1.9 millions de barils de leur part.
Le document précisait également que la demande nationale pour l'or noir avait également progressé dans le même temps, atteignant 19.1 millions de barils par jour, soit 2.4% de plus qu'à la même période en 2009.
Les prix du pétrole ont ensuite vu leur gains rabotés sur fond de rumeurs selon lesquelles le Portugal et l'Espagne seraient les prochaine membres de la zone euro à appeler au secours et de hausse de l'instabilité géopolitique dans la péninsule coréenne.
La bourse aux futures de Shanghaï a également annoncé vendredi qu'elle allait augmenter les marges exigées concernant le pétrole et les autres matiières premières, dans le but de juguler l'inflation et de ralentir la spéculation portant dessus.
La Chine reste le second plus gros consommateur de pétrole au monde, l'Agence Internationale de l'Energie estimant qu'elle devrait être responsable de 40% de la hausse de la demande globale en 2010-2011.
Les futures sur le gaz naturel pour janvier se sont quand à elles situées à 4.411 USD par million d'unités thermiques britanniques à la fermeture des marchés de vendredi, engrangeant 1.97% en cours de semaine.