Investing.com - Les bourses européennes étaient partagées ce lundi matin, dans l'attente des prises de cap de plusieurs banques centrales devant avoir lieu dans la semaine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,05%, mais le CAC 40 français arrachait 0,04%, et le DAX 30 allemand 0,41%.
Les piètres résultats économiques locaux ravivaient les espoirs de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne.
Un rapport émanant des autorités avait souligné jeudi que les prix à la consommation du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient connu un rabougrissement mensuel de 0,1% en avril, le taux d'inflation annuelle passant du même coup de 1,7 à 1,2%.
Il avait aussi été noté la veille que son l'économie avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La finance était en forme, la Commerzbank allemande empochant 1,74%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,60 et 1,02%.
Il n'en était cependant pas de même à la périphérie, l'espagnol BBVA subissant un revers de 0,54%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 1,83 et 0,69%.
Electricité de France avançait pour sa part de 0,84% après avoir vu le Crédit Suisse Group en remonter l'appréciation.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,17%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant en pertie le chemin tracé sur le continent.
Lloyds Banking prenait iansi 0,48%, et Barclays 0,61%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se portaient en tête avec 0,62 et 2,67%.
Mais tout n'était cependant pas rose, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçant de 0,04 et 0,90%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,57%.
Randgold Resources n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 3,58% dans le sillage des prix de l'or.
Les perspectives des marchés américains adoptaient de leur côté un pessimisme modéré: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,05%, mais le CAC 40 français arrachait 0,04%, et le DAX 30 allemand 0,41%.
Les piètres résultats économiques locaux ravivaient les espoirs de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne.
Un rapport émanant des autorités avait souligné jeudi que les prix à la consommation du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient connu un rabougrissement mensuel de 0,1% en avril, le taux d'inflation annuelle passant du même coup de 1,7 à 1,2%.
Il avait aussi été noté la veille que son l'économie avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La finance était en forme, la Commerzbank allemande empochant 1,74%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,60 et 1,02%.
Il n'en était cependant pas de même à la périphérie, l'espagnol BBVA subissant un revers de 0,54%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 1,83 et 0,69%.
Electricité de France avançait pour sa part de 0,84% après avoir vu le Crédit Suisse Group en remonter l'appréciation.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,17%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant en pertie le chemin tracé sur le continent.
Lloyds Banking prenait iansi 0,48%, et Barclays 0,61%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se portaient en tête avec 0,62 et 2,67%.
Mais tout n'était cependant pas rose, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçant de 0,04 et 0,90%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,57%.
Randgold Resources n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 3,58% dans le sillage des prix de l'or.
Les perspectives des marchés américains adoptaient de leur côté un pessimisme modéré: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.