Investing.com - Les bourses européennes étaient dans une forme grandissante ce mardi après-midi, profitant de l'espoir que les négociations à Washington débouchent enfin sur une remontée de la limite d'endettement des Etats-Unis, à temps pour leur éviter de manquer à leurs remboursements.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,79%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,85%.
Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, a en effet déclaré hier que des "avancées remarquables" avaient été réalisées en direction d'un consensus, laissant espérer une sortie de l'impasse.
Mais la menace d'un défaut de paiement persiste, en cas de poursuite des querelles politiques après la date limite de jeudi.
Tout compromis devra cependant être adopté par la chambre des représentants, à la tête de laquelle le républicain John Boehner décidera d'autoriser un vote ou d'exiger davantage de coupes dans les dépenses fédérales.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,83%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,86 et 1,88%.
La périphérie était moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,42 et 0,93%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se rétractant par contre de 0,51 et 0,18%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Kuehne & Nagel International, premier transporteur marin, sombrant de 2,72% en raison de bénéfices décevants pour le troisième trimestre, le volume du fret ayant stagné alors qu'il tentait de maintenir ses tarifs.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,89%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking bondissait de 3,84%, Barclays se contentant de 1,52% et HSBC Holdings de 0,30%, tandis que la Royal Bank of Scotland décevait par contre avec un faux pas de 2,45%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que Richard Usher, opérateur en chef de JP Morgan-Chase à Londres, avait envoyé, du temps où il était employé par le Royal Bank of Scotland Group, des messages prévenant que les autorités cherchaient des preuves des manipulations alléguées des taux de change.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi à l'offensive, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 1,49 et 4,04%, leur rival Antofagasta n'étant pas en reste avec 2,74%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry Group était cependant parmi les lanternes rouges, fondant de 4,45% alors que sa directrice générale Angela Ahrendts s'apprêtait à prendre la tête de la branche commerciale physique et en ligne d'Apple, pour être remplacée par Christopher Bailey.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,20%.
L'humeur allemande a d'autre part connu une résurgence d'une force inattendue, atteignant en octobre son plus haut niveau depuis avril 2010.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi mesuré une hausse de 3,2 points de son indice de l'optimisme économique germanique depuis les 49,6 précédents jusqu'à 52,8 pour le mois en cours, alors qu'une stagnation semblait probable.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,79%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,85%.
Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, a en effet déclaré hier que des "avancées remarquables" avaient été réalisées en direction d'un consensus, laissant espérer une sortie de l'impasse.
Mais la menace d'un défaut de paiement persiste, en cas de poursuite des querelles politiques après la date limite de jeudi.
Tout compromis devra cependant être adopté par la chambre des représentants, à la tête de laquelle le républicain John Boehner décidera d'autoriser un vote ou d'exiger davantage de coupes dans les dépenses fédérales.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,83%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,86 et 1,88%.
La périphérie était moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,42 et 0,93%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se rétractant par contre de 0,51 et 0,18%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Kuehne & Nagel International, premier transporteur marin, sombrant de 2,72% en raison de bénéfices décevants pour le troisième trimestre, le volume du fret ayant stagné alors qu'il tentait de maintenir ses tarifs.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,89%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking bondissait de 3,84%, Barclays se contentant de 1,52% et HSBC Holdings de 0,30%, tandis que la Royal Bank of Scotland décevait par contre avec un faux pas de 2,45%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que Richard Usher, opérateur en chef de JP Morgan-Chase à Londres, avait envoyé, du temps où il était employé par le Royal Bank of Scotland Group, des messages prévenant que les autorités cherchaient des preuves des manipulations alléguées des taux de change.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi à l'offensive, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 1,49 et 4,04%, leur rival Antofagasta n'étant pas en reste avec 2,74%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry Group était cependant parmi les lanternes rouges, fondant de 4,45% alors que sa directrice générale Angela Ahrendts s'apprêtait à prendre la tête de la branche commerciale physique et en ligne d'Apple, pour être remplacée par Christopher Bailey.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,20%.
L'humeur allemande a d'autre part connu une résurgence d'une force inattendue, atteignant en octobre son plus haut niveau depuis avril 2010.
Le centre de recherches économiques ZEW a ainsi mesuré une hausse de 3,2 points de son indice de l'optimisme économique germanique depuis les 49,6 précédents jusqu'à 52,8 pour le mois en cours, alors qu'une stagnation semblait probable.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.