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Le Trésor américain se prépare à une série d’enchères d’obligations qui attirent une attention accrue en tant qu’indicateurs du sentiment du marché envers les actifs américains. Alors que l’échéance du 9 juillet approche pour la fin de la pause de 90 jours sur les droits de douane réciproques, les investisseurs manifestent un fort intérêt pour la dette américaine à court et moyen terme, tandis que la demande pour les obligations à long terme semble moins certaine.
Les enchères, généralement routinières, ont gagné en importance comme baromètre de la demande tant étrangère que nationale. Le Trésor prévoit d’offrir 119 milliards $ en bons à trois et dix ans ainsi qu’en obligations à 30 ans. La vente d’obligations à 30 ans, en particulier, fait l’objet d’un examen minutieux alors que les investisseurs évaluent la volonté d’investir dans des pays présentant d’importants déficits budgétaires et de lourdes charges de dette.
Le contexte de ces enchères est marqué par la résurgence des "bond vigilantes", qui expriment leur scepticisme face aux excès budgétaires mondiaux. Ce scepticisme est alimenté par les inquiétudes que les politiques commerciales et les réductions d’impôts du président Donald Trump puissent conduire à l’inflation, tandis que les tarifs douaniers pourraient restreindre la croissance mondiale et contraindre les gouvernements à augmenter leurs dépenses.
S’ajoutant à ces préoccupations, la récente dégradation de la note de crédit américaine par Moody’s le mois dernier souligne les risques associés à la dette de 36 billions $ du pays.
Le Trésor commencera ses enchères mardi avec 58 milliards $ de bons à trois ans, suivis de 39 milliards $ de bons à dix ans mercredi, et conclura avec 22 milliards $ d’obligations à 30 ans jeudi. Les analystes s’attendent généralement à ce que ces enchères se déroulent sans problèmes majeurs.
Les enchères précédentes ont montré une demande robuste, l’enchère de bons à trois ans du mois dernier ayant suscité un vif intérêt. Les offres indirectes, qui comprennent les banques centrales étrangères, représentaient 62% de l’émission totale. Ce chiffre était légèrement inférieur à celui d’avril mais conforme à la moyenne des douze dernières enchères.
Les investisseurs étrangers, particulièrement les acheteurs officiels, ont historiquement montré une préférence pour les bons du Trésor américain à plus court terme, notamment ceux dont l’échéance est inférieure à cinq ans, comme le souligne la dernière enquête du Trésor américain.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.