La fin de l'exercice 2016 a été difficile pour Unilever (LON:ULVR), le géant néerlandais des produits de grande consommation, dont la croissance organique a ralenti à 2,2% au 4e trimestre, contre 2,6% attendu par le marché. Le patron du groupe, Paul Polman, estime de plus que cette tendance médiocre devrait se poursuivre durant le premier semestre de 2017.
En effet, le groupe a terminé l'année sur un CA de 52,7 milliards d'euros en hausse à données comparables de 3,7% (dont 6,5% dans les pays émergents), taux supérieur à la croissance du marché, estime Unilever. Mais la tendance a décéléré sensiblement en fin de période.
Le résultat d'exploitation prend 3,8% à 7,8 milliards d'euros. La marge opérationnelle courante s'améliore de son côté de 50 points de base à 15,3%. Enfin, le bénéfice net a crû de 5,5% à 5,5 milliards d'euros, soit 1,82 euro par action. Un dividende de 0,32 euro sera proposé à l'AG en vue d'être payé en mars prochain.
Le directeur général, Paul Polman, évoque une 'bonne performance' malgré la perturbation de deux marchés clé, l'Inde et le Brésil. Quid de 2017 ? 'Les conditions de marché qui ont rendu particulièrement difficile la fin de l'année 2016 sont susceptibles de se poursuivre au premier semestre 2017, puis la croissance devrait s'améliorer', a-t-il déclaré.
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En effet, le groupe a terminé l'année sur un CA de 52,7 milliards d'euros en hausse à données comparables de 3,7% (dont 6,5% dans les pays émergents), taux supérieur à la croissance du marché, estime Unilever. Mais la tendance a décéléré sensiblement en fin de période.
Le résultat d'exploitation prend 3,8% à 7,8 milliards d'euros. La marge opérationnelle courante s'améliore de son côté de 50 points de base à 15,3%. Enfin, le bénéfice net a crû de 5,5% à 5,5 milliards d'euros, soit 1,82 euro par action. Un dividende de 0,32 euro sera proposé à l'AG en vue d'être payé en mars prochain.
Le directeur général, Paul Polman, évoque une 'bonne performance' malgré la perturbation de deux marchés clé, l'Inde et le Brésil. Quid de 2017 ? 'Les conditions de marché qui ont rendu particulièrement difficile la fin de l'année 2016 sont susceptibles de se poursuivre au premier semestre 2017, puis la croissance devrait s'améliorer', a-t-il déclaré.
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