DBV Technologies (PA:DBV) a creusé ses pertes l'an dernier en raison des frais de de recherche et de développement engagés. Quoi qu'en baisse, la trésorerie dépasse toujours les 250 millions d'euros, soit environ 15% de la capitalisation boursière.
La 'biotech' spécialisée dans les allergies alimentaires a enregistré l'an dernier des produits opérationnels de 9,1 millions d'euros (+ 47%) 'principalement générés par le crédit impôt recherche, les produits reconnus sur la période au titre du contrat de collaboration avec Nestlé Healthcare signé en mai', indique la société.
En raison des études cliniques et des embauches, les dépenses de R&D ont décollé de 130% à 78,8 millions d'euros. De ce fait, la perte nette s'est vivement creusée en passant de 44,7 à 114,5 millions d'euros (4,65 euros par action).
La trésorerie a diminué l'an dernier de 66,2 millions d'euros pour revenir, en fin d'exercice, à 256,5 millions d'euros.
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La 'biotech' spécialisée dans les allergies alimentaires a enregistré l'an dernier des produits opérationnels de 9,1 millions d'euros (+ 47%) 'principalement générés par le crédit impôt recherche, les produits reconnus sur la période au titre du contrat de collaboration avec Nestlé Healthcare signé en mai', indique la société.
En raison des études cliniques et des embauches, les dépenses de R&D ont décollé de 130% à 78,8 millions d'euros. De ce fait, la perte nette s'est vivement creusée en passant de 44,7 à 114,5 millions d'euros (4,65 euros par action).
La trésorerie a diminué l'an dernier de 66,2 millions d'euros pour revenir, en fin d'exercice, à 256,5 millions d'euros.
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