Investing.com - Les places d'Asie étaient mitigées ce lundi matin, celles du Japon bondissant vers un sommet de huit mois après qu'il ait été révélé que Shinzo Abe y serait le prochain premier ministre.
Les pourparlers destinés à éviter la catastrophe budgétaire dont l'ombre plane sur les Etats-Unis étaient aussi en ligne de mire.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0.6%, l'ASX/200 australien de 0.2% et le Nikkei 225 japonais engrangeait 1.4%.
Tokyo était au plus haut depuis mars, les grands noms de l'exportation profitant d'un yen glissant dans un gouffre de 20 mois face au dollar U.S. suite à la nette victoire remportée hier par le parti libéral démocrate.
La formation de M. Abe a en effet pris le contrôle de 294 des 480 sièges de députés, alimentant l'espoir qu'il obtienne assez d'autorité pour forcer la Banque du Japon à procéder à des accommodements supplémentaires afin de prolonger le travail de sape sur la devise nationale.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 14% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel de la monnaie de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
L'attention se concentrait de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des deux semaines précédant la date fatidique.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, entraînant le reste du monde dans sa chute.
Hong Kong se trouvait quand à elle sur la défensive, les opérateurs encaissant leurs plus-values suite au rebond l'ayant menée la semaine dernière à un pic de 17 mois.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans grands bouleversements, sur fond de signes de progrès dans la résolution de la crise de la dette du bloc euro, tandis que les chicaneries sur le budget des Etats-Unis revenaient au centre des préoccupations.
Les options sur l'EURO STOXX 50 ne prévoyaient aucune évolution, celles sur le CAC 40 français tablant sur un replis de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand comptant grignoter 0.2% et celles sur sur le FTSE 100 britannique 0.1%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de New York, ainsi qu'avec le solde des investissements nationaux et internationaux dans les valeurs nationales.
Les pourparlers destinés à éviter la catastrophe budgétaire dont l'ombre plane sur les Etats-Unis étaient aussi en ligne de mire.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0.6%, l'ASX/200 australien de 0.2% et le Nikkei 225 japonais engrangeait 1.4%.
Tokyo était au plus haut depuis mars, les grands noms de l'exportation profitant d'un yen glissant dans un gouffre de 20 mois face au dollar U.S. suite à la nette victoire remportée hier par le parti libéral démocrate.
La formation de M. Abe a en effet pris le contrôle de 294 des 480 sièges de députés, alimentant l'espoir qu'il obtienne assez d'autorité pour forcer la Banque du Japon à procéder à des accommodements supplémentaires afin de prolonger le travail de sape sur la devise nationale.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 14% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel de la monnaie de l'archipel renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
L'attention se concentrait de nouveau sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD, à moins que le parlement et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des deux semaines précédant la date fatidique.
En l'absence de terrain d'entente, l'économie nationale risquerait alors de replonger en récession, entraînant le reste du monde dans sa chute.
Hong Kong se trouvait quand à elle sur la défensive, les opérateurs encaissant leurs plus-values suite au rebond l'ayant menée la semaine dernière à un pic de 17 mois.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans grands bouleversements, sur fond de signes de progrès dans la résolution de la crise de la dette du bloc euro, tandis que les chicaneries sur le budget des Etats-Unis revenaient au centre des préoccupations.
Les options sur l'EURO STOXX 50 ne prévoyaient aucune évolution, celles sur le CAC 40 français tablant sur un replis de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand comptant grignoter 0.2% et celles sur sur le FTSE 100 britannique 0.1%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de New York, ainsi qu'avec le solde des investissements nationaux et internationaux dans les valeurs nationales.