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Investing.com -- Dans un récent développement, le gouvernement du Brésil a décidé de réduire une augmentation controversée des taxes sur certaines transactions financières. Le manque à gagner résultant de cette décision sera compensé par l’augmentation des taxes sur les paris en ligne, les instruments de crédit privés et les institutions financières.
Le nouveau plan fiscal a été présenté par le ministre des Finances Fernando Haddad dimanche soir, suite à une réunion avec les dirigeants du Congrès pour discuter des ajustements au décret émis le mois dernier. Ce décret, qui augmentait les taux de la taxe IOF, avait été conçu pour aider le gouvernement à atteindre ses objectifs fiscaux. Cependant, il a fait face à une forte opposition tant du Congrès que des acteurs du marché, incitant le gouvernement à élaborer une stratégie alternative.
Selon le nouveau plan, Haddad a informé la presse que tous les titres de dette privée actuellement exonérés d’impôt seraient soumis à un impôt sur le revenu de 5%. Le ministre a suggéré que cette mesure aiderait à éliminer les distorsions du marché qui entravent les efforts de refinancement de la dette publique.
Cette mesure est susceptible d’affecter les instruments utilisés pour financer l’immobilier et l’agro-industrie, tels que les LCI et LCA, qui ont connu une croissance significative ces dernières années.
En outre, Haddad a révélé que la taxe sur les revenus bruts des jeux des plateformes de paris en ligne populaires opérant au Brésil passerait de 12% à 18%. Ce nouveau taux s’aligne sur la proposition initiale du gouvernement pour réglementer le secteur, qui avait été précédemment diluée au Congrès.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.