Le président de la Réserve fédérale Jerome Powell s’est dit prêt à réévaluer la question du "debanking" dans l’industrie des cryptomonnaies. Cette déclaration fait suite aux préoccupations selon lesquelles les réglementations pourraient imposer un fardeau excessif aux entreprises crypto cherchant des services bancaires aux États-Unis.
Lors d’une audition de la Commission bancaire du Sénat, le président Tim Scott (R-S.C.) a soulevé la question auprès de Powell, s’enquérant de la possibilité de collaborer pour s’assurer que les règles financières n’imposent pas de charges inutiles.
Powell s’est engagé à travailler avec Scott sur cette question, reconnaissant la nécessité de réévaluer la situation du "debanking".
Les commentaires de Powell font suite à un examen récent à Washington, où les législateurs ont tenu des audiences et lancé des enquêtes sur le "debanking", qui affecte la capacité des entreprises crypto à établir et maintenir des comptes bancaires aux États-Unis. La semaine dernière, deux audiences à la Chambre et au Sénat ont spécifiquement porté sur cette question.
Le sujet a gagné en attention lorsque Coinbase (NASDAQ:COIN), par l’intermédiaire du cabinet de conseil History Associates, a intenté un procès contre la Federal Deposit Insurance Corporation l’année dernière.
La poursuite accusait l’agence de tenter de bloquer l’accès de l’industrie crypto aux services bancaires. De plus, les PDG des grandes banques se sont exprimés sur leurs difficultés à traiter avec les cryptomonnaies.
Lors de l’audience au Sénat, Powell a noté que lui et ses collègues ont été "frappés" par les cas croissants de "debanking" et a exprimé sa détermination à réexaminer la question.
Powell avait précédemment déclaré lors d’une conférence de presse en janvier que les banques peuvent servir les clients crypto, à condition qu’elles puissent gérer efficacement les risques associés, bien qu’il ait reconnu le seuil plus élevé pour les banques s’engageant dans des activités crypto en raison de leur nouveauté.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.