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Investing.com - Les indices boursiers européens ont progressé mardi dans un contexte prudent avant la publication des dernières données d’inflation pour la zone euro, en prélude à la prochaine réunion de la Banque centrale européenne.
L’indice DAX en Allemagne a grimpé de 0,6%, le CAC 40 en France a gagné 0,3% et le FTSE 100 au Royaume-Uni a progressé de 0,1%.
Inflation de la zone euro attendue
Le point fort de mardi était la publication des chiffres préliminaires de l’inflation de la zone euro pour mai, qui précèdent la réunion de politique monétaire de la Banque centrale européenne plus tard dans la semaine.
Les prix à la consommation dans la zone euro ont augmenté moins que prévu en mai. L’indice des prix à la consommation (IPC) de la zone euro a augmenté de 1,9% en rythme annuel le mois dernier, en dessous de l’objectif médian de 2,0% de la BCE, ralentissant par rapport aux 2,2% d’avril.
Ces dernières données offrent à la Banque centrale européenne la possibilité de réduire à nouveau les taux d’intérêt plus tard dans la semaine.
L’incertitude concernant les tarifs américains, accentuée par l’ambiguïté des décisions judiciaires sur la légalité des droits de douane, rend le contexte difficile alors que la BCE évalue l’impact sur l’activité économique par rapport aux implications pour l’inflation à plus long terme.
Les discussions commerciales toujours sous les projecteurs
Les investisseurs surveilleront également tout développement dans les pourparlers commerciaux, après que les négociations entre les États-Unis et la Chine, les deux plus grandes économies du monde, se soient détériorées la semaine dernière.
Le président américain Donald Trump et le dirigeant chinois Xi Jinping s’entretiendront probablement cette semaine, a déclaré lundi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, quelques jours après que Trump a accusé la Chine de violer un accord visant à réduire les tarifs douaniers et les restrictions commerciales.
L’administration Trump exhorte également les pays à présenter leurs propositions commerciales les plus favorables d’ici mercredi, selon un rapport de Reuters, citant une lettre provisoire adressée aux partenaires de négociation.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’un effort visant à accélérer les discussions avec plusieurs partenaires avant une échéance auto-imposée dans cinq semaines.
British American Tobacco (LON:BATS) soutenu par la croissance américaine
Dans le secteur des entreprises, British American Tobacco (NYSE:BTI) a indiqué que le chiffre d’affaires du premier semestre devrait être légèrement supérieur aux prévisions précédentes, soutenu par la croissance de son activité aux États-Unis et les gains réalisés dans les produits oraux modernes, notamment Velo.
La société suisse de gestion de patrimoine Julius Baer (SIX:BAER) a dévoilé une nouvelle stratégie triennale et des objectifs financiers jusqu’en 2028, suite à une révision de ses opérations sous une nouvelle direction.
Airbus (EPA:AIR), le plus grand constructeur d’avions au monde, a livré environ 51 appareils en mai, selon des sources industrielles, soit une baisse de 4% par rapport au même mois de l’année dernière. Ce chiffre porte les livraisons depuis le début de l’année à environ 243 appareils, soit une baisse de 5% par rapport aux cinq premiers mois de 2024.
Le pétrole en hausse face aux perturbations d’approvisionnement
Les prix du pétrole ont augmenté mardi, prolongeant les fortes hausses de la session précédente, alors que l’incertitude concernant un accord nucléaire entre les États-Unis et l’Iran et l’aggravation des tensions entre l’Ukraine et la Russie laissent présager d’autres perturbations potentielles de l’approvisionnement.
À 17h48, les contrats à terme Brent ont grimpé de 1,9% à 65,83€ le baril, et les contrats à terme du pétrole brut West Texas Intermediate américain ont augmenté de 2% à 63,77€ le baril.
L’Iran devrait rejeter une proposition américaine visant à mettre fin à un différend nucléaire vieux de plusieurs décennies, ce qui signifierait le maintien des sanctions, limitant ainsi l’offre iranienne et soutenant les prix du pétrole.
Les deux contrats ont gagné près de 3% lors de la session précédente après que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, connus sous le nom d’OPEP+, ont convenu de maintenir les augmentations de production en juillet à 411.000 barils par jour, ce qui était inférieur à ce que certains acteurs du marché craignaient et identique à l’augmentation des deux mois précédents.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.