Alors que les statistiques conjoncturelles ont généralement déçu depuis la fin du printemps, les investisseurs hésitent entre plusieurs attitudes. Faut-il se focaliser sur les risques cycliques ou sur les effets stabilisateurs de la baisse des taux, voire sur le potentiel de bonnes surprises qui se reconstitue maintenant que les anticipations de croissance sont revues à la baisse ?