Investing.com — Les États-Unis ont rejeté la demande du Japon pour une exemption totale du tarif "réciproque" de 10% et d’un tarif spécifique au pays, selon un rapport de Kyodo News citant des sources proches du dossier. Lors de récentes négociations, des responsables américains, dont le secrétaire au Trésor Scott Bessent, ont communiqué au négociateur en chef japonais Ryosei Akazawa que l’administration Trump est seulement disposée à envisager une réduction du tarif spécifique de 14%, qui a été suspendu jusqu’au début juillet.
Lors du deuxième cycle de pourparlers, l’équipe américaine a souligné qu’elle n’envisagerait de prolonger la suspension de 90 jours ou de réduire le tarif de 14% qu’en fonction des progrès des négociations. Le Japon plaide pour la suppression complète des tarifs "réciproques", y compris une taxe supplémentaire de 25% sur les voitures et un droit de 25% sur l’acier et l’aluminium, soulignant ses contributions à l’économie américaine par le biais d’investissements et de création d’emplois.
Cependant, les États-Unis ont déclaré qu’ils ne négocieraient pas le prélèvement global de référence de 10% ni les tarifs sur les voitures et les produits sidérurgiques. Le Japon est l’un des premiers pays avec lesquels les États-Unis ont entamé des négociations sur leurs tarifs d’importation plus élevés.
Les États-Unis estiment que le Japon a davantage de possibilités d’ouvrir ses secteurs automobile et agricole. Lors du premier cycle de discussions mi-avril, les États-Unis ont exprimé leur mécontentement quant au nombre de voitures fabriquées aux États-Unis importées au Japon et ont exhorté le pays à ouvrir son marché à davantage de cultures américaines.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.