Investing.com - Les bourses européennes gardaient la grande forme ce jeudi après-midi, les propos apparemment favorables aux maintien des assouplissements tenus par le chef de la banque centrale américaine ayant tiré les bourses du monde entier vers le haut.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,76%, le CAC 40 français de 0,64%, et le DAX 30 allemand de 1,26%.
Les cours sont en effet remontés après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne précisait pour sa part qu'elle s'attendait à ce que la période au cours de laquelle les taux demeureront un niveau inférieur ou égal à l'actuel serait "flexible", rappelant que que nouvelles diminutions n'étaient pas exclues.
La finance affichait toujours un sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,05%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,75 et 0,85%.
La périphérie était plus partagée, l'espagnol Banco Santander et l'italien Intesa Sanpaolo encaissant 0,29 et 0,55%, leurs compatriotes respectifs BBVA et Unicredit laissant par contre échapper 0,31 et 0,06%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,52%, tiré vers le haut par des exploitants en forte hausse.
Vedanta Resources raflait ainsi 5,28%, et Randgold Resources 5,84%, Polymetal et Fresnillo se plaçant dans le peloton de tête avec 7,91 et 10,19%, poursuivant leur ascension.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste, avec 4,18 et 3,97%.
La City retombait toutefois majoritairement, Lloyds Banking reculant de 0,12%, HSBC Holdings de 0,17%, et la Royal Bank of Scotland de 0,64%.
Barclays émergeait par contre toujours de 0,43%.
Le chasseur de têtes britannique Hays Plc engrangeait 5,62% après avoir déclaré que le total net de ses honoraires pour le quatrième trimestre fiscal avait gonflé de 3%, projetant des profits annuels se situant dans la portion élevée d'une fourchette des évaluations allant de 112,3 à 125,5 millions de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,80%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,92% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,84%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,76%, le CAC 40 français de 0,64%, et le DAX 30 allemand de 1,26%.
Les cours sont en effet remontés après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un chômage élevé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
Le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne précisait pour sa part qu'elle s'attendait à ce que la période au cours de laquelle les taux demeureront un niveau inférieur ou égal à l'actuel serait "flexible", rappelant que que nouvelles diminutions n'étaient pas exclues.
La finance affichait toujours un sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,05%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,75 et 0,85%.
La périphérie était plus partagée, l'espagnol Banco Santander et l'italien Intesa Sanpaolo encaissant 0,29 et 0,55%, leurs compatriotes respectifs BBVA et Unicredit laissant par contre échapper 0,31 et 0,06%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,52%, tiré vers le haut par des exploitants en forte hausse.
Vedanta Resources raflait ainsi 5,28%, et Randgold Resources 5,84%, Polymetal et Fresnillo se plaçant dans le peloton de tête avec 7,91 et 10,19%, poursuivant leur ascension.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto n'étaient pas en reste, avec 4,18 et 3,97%.
La City retombait toutefois majoritairement, Lloyds Banking reculant de 0,12%, HSBC Holdings de 0,17%, et la Royal Bank of Scotland de 0,64%.
Barclays émergeait par contre toujours de 0,43%.
Le chasseur de têtes britannique Hays Plc engrangeait 5,62% après avoir déclaré que le total net de ses honoraires pour le quatrième trimestre fiscal avait gonflé de 3%, projetant des profits annuels se situant dans la portion élevée d'une fourchette des évaluations allant de 112,3 à 125,5 millions de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,80%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,92% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,84%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.