Investing.com - Les bourses européennes étaient partagées ce mardi matin, suite à des résultats des chiffres du commerce extérieur peu glorieux de la part de l'Allemagne, après que le ministre de finances du Japon ait déclaré que l'archipel acquerrait des obligations du Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours permanent à la région.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.11%, le CAC 40 français arrachant par contre 0.17%, et le DAX 30 allemand laissant échapper 0.19%.
Des informations officielles ont en effet montré dans la matinée que le surplus du commerce extérieur germanique avait diminué en novembre sans prévenir, reculant depuis 14.9 vers 14.6 milliards d'euros, alors que les experts espéraient un frémissement à 15 milliards pur la période considérée.
Taro Aso, chargé des caisses du pays du soleil levant, avait affirmé à l'aube que ce dernier achèterait des titres émis par le Mécanisme Européen de Stabilité afin de contribuer à calmer l'effervescence régionale.
Mais la nervosité découlant des tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait cependant palpable.
La finance était mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.49 et 0.56%, tandis que la Deutsche Bank allemande trébuchait de 0.17%.
Il était aussi à noter que Royal KPN NV, premier opérateur téléphonique néerlandais, engrangeait 3.89% après que le Macquarie Group en ait relevé l'appréciation, ses performances dépassant ses attentes après y avoir été inférieures.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.11%, tiré vers le haut par la forme de son collègue Vodafone.
Le géant des télécommunications a ainsi raflé 2.76% après que Lowell McAdam, directeur général de Verizon, ait affirmé hier au quotidien Wall Street Journal que son entreprise était assez forte pour recheter ses parts de Verizon Wireless.
Les deux poinds lourds s'étaient en effet associées en 2000 pour créer cette dernière, le premier en détenant 45% et le second 55%.
La City était par contre en dificulté, la Royal Bank of Scotland trébuchant de 0.15%, Lloyds Banking de 0.2% et HSBC Holdings de 0.8%, tandis que barclays tirait son épingle du jeu en gagnant 0.47%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.6 et 0.36%, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.28 et 0.55%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à eux globalement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, ainsi que son taux de chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.11%, le CAC 40 français arrachant par contre 0.17%, et le DAX 30 allemand laissant échapper 0.19%.
Des informations officielles ont en effet montré dans la matinée que le surplus du commerce extérieur germanique avait diminué en novembre sans prévenir, reculant depuis 14.9 vers 14.6 milliards d'euros, alors que les experts espéraient un frémissement à 15 milliards pur la période considérée.
Taro Aso, chargé des caisses du pays du soleil levant, avait affirmé à l'aube que ce dernier achèterait des titres émis par le Mécanisme Européen de Stabilité afin de contribuer à calmer l'effervescence régionale.
Mais la nervosité découlant des tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait cependant palpable.
La finance était mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.49 et 0.56%, tandis que la Deutsche Bank allemande trébuchait de 0.17%.
Il était aussi à noter que Royal KPN NV, premier opérateur téléphonique néerlandais, engrangeait 3.89% après que le Macquarie Group en ait relevé l'appréciation, ses performances dépassant ses attentes après y avoir été inférieures.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.11%, tiré vers le haut par la forme de son collègue Vodafone.
Le géant des télécommunications a ainsi raflé 2.76% après que Lowell McAdam, directeur général de Verizon, ait affirmé hier au quotidien Wall Street Journal que son entreprise était assez forte pour recheter ses parts de Verizon Wireless.
Les deux poinds lourds s'étaient en effet associées en 2000 pour créer cette dernière, le premier en détenant 45% et le second 55%.
La City était par contre en dificulté, la Royal Bank of Scotland trébuchant de 0.15%, Lloyds Banking de 0.2% et HSBC Holdings de 0.8%, tandis que barclays tirait son épingle du jeu en gagnant 0.47%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.6 et 0.36%, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.28 et 0.55%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à eux globalement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, ainsi que son taux de chômage.