Investing.com - Les bourses européennes demeuraient en difficulté ce jeudi après-midi, après que la Banque Mondiale ait revu à la baisse ses prédictions de croissance, dans l'angoisse d'un serrage de vis de la part des principales banques centrales.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 sombrait de 0,84%, le CAC 40 français de 0,64%, et le DAX 30 allemand de 1,40%.
L'organisme a en effet déclaré dans un rapport que l'économie connaîtrait une expansion globale de 2,2% cette année, au lieu des 2,4% envisagés en janvier, et des 2,3% enregistrés pour 2012, elle a aussi rabaissé ses projections pour les pays émergents, estimant d'autre part que le produit intérieur brut de la zone euro subirait une érosion de 0,6%.
Les cours ont suivi l'effondrement japonais face à l'épouvantail d'une fin imminente des apports de capitaux provenant des autorités monétaires, alimentant la désaffection envers les valeurs audacieuses.
La nervosité ambiante était ravivée par les bruits évoquant une éventuelle diminution des 85 milliards d'USD d'injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale alimentaient l'angoisse diffuse d'une fin imminente des perfusions.
La finance restait en repli, la Deutsche Bank allemande chutant de 1,25%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,66 et 1,63%.
La périphérie était plus itigée, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,63 et 1,63%, mais les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit nageaient à contre-courant avec 1,47 et 0,68%, faisant mieux que compenser leurs pertes de la matinée.
France Télécom perdait 0,67% après que le ministre des finances français Pierre Moscovici ait déclaré que son conseil d'admistration devrait se réunir "dès que possible" afin d'étudier les conséquences de la mise en examen de son directeur général Stéphane Richard.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,85%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la majorité de leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking se rétractait de 0,45%, Barclays de 1,56%, HSBC Holdings de 1,97% et la Royal Bank of Scotland se retrouvait en lanterne rouge avec 6,13%.
Cette dernière avait annoncé en début de journée que son directeur général Stephen Hester libèrerait sa place cette année, précisant qu'elle réduirait aussi le nombre des emplois dans sa branche d'affaires, sans toutefois avancer de chiffres précis.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre retrouvé le sourire, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,52 et 0,83%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,64%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,33%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 sombrait de 0,84%, le CAC 40 français de 0,64%, et le DAX 30 allemand de 1,40%.
L'organisme a en effet déclaré dans un rapport que l'économie connaîtrait une expansion globale de 2,2% cette année, au lieu des 2,4% envisagés en janvier, et des 2,3% enregistrés pour 2012, elle a aussi rabaissé ses projections pour les pays émergents, estimant d'autre part que le produit intérieur brut de la zone euro subirait une érosion de 0,6%.
Les cours ont suivi l'effondrement japonais face à l'épouvantail d'une fin imminente des apports de capitaux provenant des autorités monétaires, alimentant la désaffection envers les valeurs audacieuses.
La nervosité ambiante était ravivée par les bruits évoquant une éventuelle diminution des 85 milliards d'USD d'injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale alimentaient l'angoisse diffuse d'une fin imminente des perfusions.
La finance restait en repli, la Deutsche Bank allemande chutant de 1,25%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,66 et 1,63%.
La périphérie était plus itigée, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 1,63 et 1,63%, mais les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit nageaient à contre-courant avec 1,47 et 0,68%, faisant mieux que compenser leurs pertes de la matinée.
France Télécom perdait 0,67% après que le ministre des finances français Pierre Moscovici ait déclaré que son conseil d'admistration devrait se réunir "dès que possible" afin d'étudier les conséquences de la mise en examen de son directeur général Stéphane Richard.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,85%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la majorité de leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking se rétractait de 0,45%, Barclays de 1,56%, HSBC Holdings de 1,97% et la Royal Bank of Scotland se retrouvait en lanterne rouge avec 6,13%.
Cette dernière avait annoncé en début de journée que son directeur général Stephen Hester libèrerait sa place cette année, précisant qu'elle réduirait aussi le nombre des emplois dans sa branche d'affaires, sans toutefois avancer de chiffres précis.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre retrouvé le sourire, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,52 et 0,83%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,64%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,33%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.