Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi, les médiocres résultats économiques régionaux révélés hier renforçant l'attente d'accomodements supplémentaires dans l'expectative de la réunion d'orientation politique de la Banque Centrale Européenne de cette semaine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.67%, le CAC 40 français de 0.53%, et le DAX 30 allemand de 0.65%.
En zone euro, le résultat définitif de l'indice manufacturier se situait en effet à 45.1 pour juin, se maintenant ainsi à sa pire valeur depuis le même mois de l'année 2009.
Les observateurs scrutaient du coup les résultats de la réunion d'orientation de la Banque Centrale Européenne de jeudi, dans l'attente grandissante d'une diminution de ses taux d'intérêt.
Les mauvaises performances des Etats-Unis ont quand à elles alimenté les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer la croissance nationale.
La finance se trouvait au tableau d'honneur, le français Crédit Agricole en tête avec 2.13%, suivi de près par l'ING Groep néerlandais avec 1.97%.
La Banque Nationale de Grèce avait auparavant révélé être en négociations avec le premier, qui compterait se séparer d'Emporiki, sa branche hellène.
Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 1.9 et 0.66%, tandis que la Deutsche Bank et Commerzbank, leurs deux plus gros collègues allemands, engrangeaient respectivement 0.86 et 0.51%.
Les constructeurs automobilles filaient aussi bon train, Peugeot raflant 2.67% après avoir annoncé hier que son plan de réduction des coûts très attendu serait dévoilé le 12 juillet.
Le comité des constructeurs français d'automobiles a cependant montré que la demande pour les voitures de la marque avait continué à plonger en juin, bien que le marché français des véhicules ait diminué moins rapidement qu'en début d'année.
Ses concurrents allemands Volkswagen et BMW ont quand à eux rebondi de 1.43 et 1.45%, l'italien Fiat n'étant pas à négliger avec 1.53%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.27%, tiré vers le haut par des miniers nettement requinqués.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se sont ainsi élevés de 1.9 et 0.98%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avançant de 0.76 et 2.4%.
Le poids lourd des hydrocarbures qu'est Anglo American a aussi apporté sa pierre à l'édofoce avec 0.81%, mais BP a plongé de 0.9% en raison du renouvellement lundi des demandes de communication des courriers électroniques concernant l'échec de son alliance avec le russe Rosneft dans le but d'exploiter les réserves arctiques, ayant entraîné un procès de la part de ses actionnaires, exigeant 12.5 milliards d'USD de compensation.
La City était dans le brouillard, Barclays s'envolant de 0.94%, HSBC Holdings se contentant de 0.11%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland laissaient échapper 0.14 et 1.21%.
Bob Diamond, directeur exécutif de la première, avait auparavant présenté sa démission suite au scandale des manipulations sur le Libor, ayant entraîné la semaine dernière des amendes record de la part des gendarmes financiers américains et britanniques, George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, déclarant que M. Diamond avait ainsi pris "la meilleure décision pour la banque et le pays".
Les perspectives des marchés américains étaient par contre plus mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur 0.03% d'amélioration, et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.15%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.67%, le CAC 40 français de 0.53%, et le DAX 30 allemand de 0.65%.
En zone euro, le résultat définitif de l'indice manufacturier se situait en effet à 45.1 pour juin, se maintenant ainsi à sa pire valeur depuis le même mois de l'année 2009.
Les observateurs scrutaient du coup les résultats de la réunion d'orientation de la Banque Centrale Européenne de jeudi, dans l'attente grandissante d'une diminution de ses taux d'intérêt.
Les mauvaises performances des Etats-Unis ont quand à elles alimenté les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer la croissance nationale.
La finance se trouvait au tableau d'honneur, le français Crédit Agricole en tête avec 2.13%, suivi de près par l'ING Groep néerlandais avec 1.97%.
La Banque Nationale de Grèce avait auparavant révélé être en négociations avec le premier, qui compterait se séparer d'Emporiki, sa branche hellène.
Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec 1.9 et 0.66%, tandis que la Deutsche Bank et Commerzbank, leurs deux plus gros collègues allemands, engrangeaient respectivement 0.86 et 0.51%.
Les constructeurs automobilles filaient aussi bon train, Peugeot raflant 2.67% après avoir annoncé hier que son plan de réduction des coûts très attendu serait dévoilé le 12 juillet.
Le comité des constructeurs français d'automobiles a cependant montré que la demande pour les voitures de la marque avait continué à plonger en juin, bien que le marché français des véhicules ait diminué moins rapidement qu'en début d'année.
Ses concurrents allemands Volkswagen et BMW ont quand à eux rebondi de 1.43 et 1.45%, l'italien Fiat n'étant pas à négliger avec 1.53%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.27%, tiré vers le haut par des miniers nettement requinqués.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se sont ainsi élevés de 1.9 et 0.98%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avançant de 0.76 et 2.4%.
Le poids lourd des hydrocarbures qu'est Anglo American a aussi apporté sa pierre à l'édofoce avec 0.81%, mais BP a plongé de 0.9% en raison du renouvellement lundi des demandes de communication des courriers électroniques concernant l'échec de son alliance avec le russe Rosneft dans le but d'exploiter les réserves arctiques, ayant entraîné un procès de la part de ses actionnaires, exigeant 12.5 milliards d'USD de compensation.
La City était dans le brouillard, Barclays s'envolant de 0.94%, HSBC Holdings se contentant de 0.11%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland laissaient échapper 0.14 et 1.21%.
Bob Diamond, directeur exécutif de la première, avait auparavant présenté sa démission suite au scandale des manipulations sur le Libor, ayant entraîné la semaine dernière des amendes record de la part des gendarmes financiers américains et britanniques, George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, déclarant que M. Diamond avait ainsi pris "la meilleure décision pour la banque et le pays".
Les perspectives des marchés américains étaient par contre plus mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.02%, celles sur le S&P 500 tablant sur 0.03% d'amélioration, et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.15%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.