Investing.com - Les bourses européennes se sont mises à piquer du nez ce vendredi après-midi, malgré de bons résultats économiques de la part de la France et de l'Allemagne, se retrouvant dans l'ombre d'un possible serrage de boulons imminent de la banque centrale américaine.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,55%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,32%.
Une étude officielle avait en effet signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de 0,8% en mai, une bonne surprise au vu des 0,2% anticipés après la déconvenue des 0,1% du mois précédent.
En France, les dépenses des consommateurs ont quand à elles augmenté de 0,5% en mai, au lieu de subir l'érosion de 0,1% redoutée après le faux pas de 0,5% du mois précédent.
La nervosité était palpable à l'affût des performances des Etats-Unis, dans l'incertitude au sujet des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
La finance en perdait majoritairement le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant malgré tout 0,67%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 1,83 et 2,76%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,60 et 1,53%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1.23 et 1,26%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le diffuseur Mediaset encaissant 1,91% après que le Crédit Suisse en ait relevé l'objectif de cours depuis 2,65 vers 4,40 USD, invoquant les signes selon lesquels les marchés des annonceurs d'Italie et d'Espagne auraient touché le fond.
A Londres, le FTSE 100 trébuchait de 0,15%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings reculait de 0,30% la Royal Bank of Scotland de 0,41% et Barclays de 0,75%, Lloyds Bankingémergeant cependant de 1,46%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto gardaient par cntre la forme, amassant 0,61 et 0,30%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American étant aussi de la fête avec 0,57%.
Serco s'envolait de 3,80% après avoir déclaré que ses investissements dans les appels d'offres et le développement des nouvelles activités avaient augmenté.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,55%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,32%.
Une étude officielle avait en effet signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de 0,8% en mai, une bonne surprise au vu des 0,2% anticipés après la déconvenue des 0,1% du mois précédent.
En France, les dépenses des consommateurs ont quand à elles augmenté de 0,5% en mai, au lieu de subir l'érosion de 0,1% redoutée après le faux pas de 0,5% du mois précédent.
La nervosité était palpable à l'affût des performances des Etats-Unis, dans l'incertitude au sujet des injections de capitaux de la Réserve Fédérale.
La finance en perdait majoritairement le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant malgré tout 0,67%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 1,83 et 2,76%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,60 et 1,53%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1.23 et 1,26%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le diffuseur Mediaset encaissant 1,91% après que le Crédit Suisse en ait relevé l'objectif de cours depuis 2,65 vers 4,40 USD, invoquant les signes selon lesquels les marchés des annonceurs d'Italie et d'Espagne auraient touché le fond.
A Londres, le FTSE 100 trébuchait de 0,15%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings reculait de 0,30% la Royal Bank of Scotland de 0,41% et Barclays de 0,75%, Lloyds Bankingémergeant cependant de 1,46%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto gardaient par cntre la forme, amassant 0,61 et 0,30%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American étant aussi de la fête avec 0,57%.
Serco s'envolait de 3,80% après avoir déclaré que ses investissements dans les appels d'offres et le développement des nouvelles activités avaient augmenté.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.