Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi matin, dans le sillage de bonnes nouvelles provenant d'Allemagne, malgré l'ombre grandissante d'un resserrage des boulons de la part de la banque centrale américaine.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,42%, le CAC 40 français de 0,03%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Le baromètre du moral des consommateurs allemands établi par le groupe de recherches économiques Gfk a en effet frémi en juin depuis 6,5 vers 6,8, alors qu'une stagnation était envisagée.
Il avait déjà été signalé hier que la confiance des particuliers américains s'était regonflée ce mois-ci à son plus haut niveau depuis janvier 2008, et que les ventes de logements neufs avaient n'avaient jamais été aussi nombreuses en cinq ans qu'en mai.
Il avait auparavant été souligné que les commandes de biens durables avaient dépassé les espérances dans le même temps.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'angoisse de difficultés d'emprunt en Chine s'est d'autre part apaisée après que la banque centrale du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,09%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,12 et 0,15%.
La périphérie était cependant plus nuancée, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,44 et 1,89%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit nageant à contre-courant avec de replis de 0,49 et 0,01%.
Colruyt, premier revendeur de produits alimentaires à prix cassés de Belgique, grimpait pour sa part de 0,49% après avoir revendiqué 699,8 millions d'euros de revenus annuels, dépassant ainsi les 684 millions généralement pressentis.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,17%, tiré vers le haut par ses établissements bancaires.
La Royal Bank of Scotland arrachait ainsi 0,11%, HSBC Holdings 0,13% et Barclays 0,37%, Lloyds Banking se situant en pointe avec 0,82%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,47 et 0,58%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Fresnillo n'étant pas en reste avec 1,19 et 2,81%.
Les perspectives des marchés américains étaient sans direction claire: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,04%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,42%, le CAC 40 français de 0,03%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Le baromètre du moral des consommateurs allemands établi par le groupe de recherches économiques Gfk a en effet frémi en juin depuis 6,5 vers 6,8, alors qu'une stagnation était envisagée.
Il avait déjà été signalé hier que la confiance des particuliers américains s'était regonflée ce mois-ci à son plus haut niveau depuis janvier 2008, et que les ventes de logements neufs avaient n'avaient jamais été aussi nombreuses en cinq ans qu'en mai.
Il avait auparavant été souligné que les commandes de biens durables avaient dépassé les espérances dans le même temps.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
L'angoisse de difficultés d'emprunt en Chine s'est d'autre part apaisée après que la banque centrale du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,09%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,12 et 0,15%.
La périphérie était cependant plus nuancée, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,44 et 1,89%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit nageant à contre-courant avec de replis de 0,49 et 0,01%.
Colruyt, premier revendeur de produits alimentaires à prix cassés de Belgique, grimpait pour sa part de 0,49% après avoir revendiqué 699,8 millions d'euros de revenus annuels, dépassant ainsi les 684 millions généralement pressentis.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,17%, tiré vers le haut par ses établissements bancaires.
La Royal Bank of Scotland arrachait ainsi 0,11%, HSBC Holdings 0,13% et Barclays 0,37%, Lloyds Banking se situant en pointe avec 0,82%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,47 et 0,58%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Fresnillo n'étant pas en reste avec 1,19 et 2,81%.
Les perspectives des marchés américains étaient sans direction claire: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,04%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.