Investing.com - Les bourses européennes restaient en repli ce lundi après-midi, le moral se trouvant largement affecté par l'annonce de la démission prochaine du premier ministre italien Mario Monti, alimentant les craintes concernant la gestion de la crise de la dette du pays.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.75%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.44%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que M. Monti ait révélé en fin de semaine son intention d'abandonner son poste une fois le budget 2013 voté, suite au retrait du soutien des membres du parti de Silvio Berlusconi, qui l'occupait auparavant.
La nervosité avait déjà été de mise après que la Bundesbank ait réduit vendredi ses projections d'expansion économique allemande, ajoutant que celle-ci pourrait rentrer en récession en raison du problème du surendettement de la région où elle a cours.
Les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année ne fassent dérailler la relance économique du pays.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 2.5 et 2.84%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.2 et 2.93%.
Leurs collègues d'Italie n'étaient pas en reste, Unicredit et Intesa Sanpaolo s'effondrant de 6.52 et 7.18% après qu'une étude officielle ait montré ce matin que la production industrielle natoinale avait subi un revers plus important que redouté avec 1.1% en octobre, prolongeant les 1.3% déjà déplorés le mois précédent.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, STMicroelectronics engrangeant 1.62% en France après avoir exprimé son intention de mettre fin à son association dans ST-Ericsson d'ici le troisième trimestre de l'année prochaine, dans le cadre d'une nouvelle stratégie d'augmentation de rentabilité.
A Londres, le FTSE 100 laissait échapper 0.14%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking trébuchait ainsi de 0.71%, HSBC Holdings de 0.74%, la Royal Bank of Scotland et Barclays coiffant le bonnet d'âne avec 1.09 et 1.5%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus mitigées, le mastodonte minier BHP Billiton fondant de 0.95%, alors que son rival Rio Tinto rebondissait de 0.61%, le cuivrier Xstrata reculant de 0.36% et Kazakhmys raflant 0.6%.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16%.
Une étude officielle a d'autre part montré ce matin que la production industrielle française avait subi un revers inattendu de 0.7% en octobre, prolongeant les 2.7% déjà déplorés le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant la voir grignoter 0.3% pour la période considérée.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.75%, le CAC 40 français de 0.34%, et le DAX 30 allemand de 0.44%.
L'ambiance s'est en effet assombrie après que M. Monti ait révélé en fin de semaine son intention d'abandonner son poste une fois le budget 2013 voté, suite au retrait du soutien des membres du parti de Silvio Berlusconi, qui l'occupait auparavant.
La nervosité avait déjà été de mise après que la Bundesbank ait réduit vendredi ses projections d'expansion économique allemande, ajoutant que celle-ci pourrait rentrer en récession en raison du problème du surendettement de la région où elle a cours.
Les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année ne fassent dérailler la relance économique du pays.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 2.5 et 2.84%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 2.2 et 2.93%.
Leurs collègues d'Italie n'étaient pas en reste, Unicredit et Intesa Sanpaolo s'effondrant de 6.52 et 7.18% après qu'une étude officielle ait montré ce matin que la production industrielle natoinale avait subi un revers plus important que redouté avec 1.1% en octobre, prolongeant les 1.3% déjà déplorés le mois précédent.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, STMicroelectronics engrangeant 1.62% en France après avoir exprimé son intention de mettre fin à son association dans ST-Ericsson d'ici le troisième trimestre de l'année prochaine, dans le cadre d'une nouvelle stratégie d'augmentation de rentabilité.
A Londres, le FTSE 100 laissait échapper 0.14%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking trébuchait ainsi de 0.71%, HSBC Holdings de 0.74%, la Royal Bank of Scotland et Barclays coiffant le bonnet d'âne avec 1.09 et 1.5%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus mitigées, le mastodonte minier BHP Billiton fondant de 0.95%, alors que son rival Rio Tinto rebondissait de 0.61%, le cuivrier Xstrata reculant de 0.36% et Kazakhmys raflant 0.6%.
Les perspectives des marchés américains partageaient plus modérément ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16%.
Une étude officielle a d'autre part montré ce matin que la production industrielle française avait subi un revers inattendu de 0.7% en octobre, prolongeant les 2.7% déjà déplorés le mois précédent.
Les experts pensaient pourtant la voir grignoter 0.3% pour la période considérée.