Investing.com - Les bourses européennes gardaient la forme ce mardi après-midi, profitant toujours des propos tenus la semaine passée par le chef de l'autorité monétaire régionale, malgré l'ombre tenace d'un tour de vis de son homologue des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,31%, le CAC 40 français de 0,43%, et le DAX 30 allemand de 0,71%.
Le moral restait positif après que la Banque Centrale Européenne ait déclaré la semaine dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
La prudence restait cependant de mise après que les autorités des Etats-Unis aient décompté la semaine passée 195.000 emplois supplémentaires pour juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé le mois dernier que celle-ci envisageait de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles avant que l'année soit achevée au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La finance arborait un sourire un peu moins large, la Deutsche Bank allemande empochant 1,68%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,33 et 0,14%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,17 et 0,30%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,77 et 0,11%.
A Paris, LVMH, expert en produits de luxe, raflait 2,24%, renforçant encore sa position après avoir accepté de débourser 2 milliards d'euros pour 80% de Loro Piana.
Le constructeur automobile Peugeot y accélérait aussi de 1,31%, malgré l'aveu d'une baisse depuis 1,62 vers 1,46 millions de ses livraisons de voitures, véhicules utilitaires sportifs et professionnels.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,71%, bien que les autorités aient fait savoir que la production manufacturière britannique avait subi en mai son pire revers en quatre mois.
La City suivait toujours le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings gonflait ainsi de 0,86%, et Lloyds Banking de 0,88%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en pointe avec 1,83 et 6,20%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,87 et 2,28%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Polymetal suivait le même chemin avec 3,31 et 3,92%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Hikma Pharmaceuticals se consolidait de 1,90% après que l'UBS en ait relevé l'appréciation depuis la neutralité vers le conseil d'achat, après qu'il ait revu ses estimations de croissance de revenus annuels depuis 13 vers 17%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,38% aussi.
Le groupe des ministres des finances de l'Union Européenne procèdera quand à lui aujourd'hui à de nouveaux pourparlers à Bruxelles.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,31%, le CAC 40 français de 0,43%, et le DAX 30 allemand de 0,71%.
Le moral restait positif après que la Banque Centrale Européenne ait déclaré la semaine dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
La prudence restait cependant de mise après que les autorités des Etats-Unis aient décompté la semaine passée 195.000 emplois supplémentaires pour juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé le mois dernier que celle-ci envisageait de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles avant que l'année soit achevée au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La finance arborait un sourire un peu moins large, la Deutsche Bank allemande empochant 1,68%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,33 et 0,14%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,17 et 0,30%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,77 et 0,11%.
A Paris, LVMH, expert en produits de luxe, raflait 2,24%, renforçant encore sa position après avoir accepté de débourser 2 milliards d'euros pour 80% de Loro Piana.
Le constructeur automobile Peugeot y accélérait aussi de 1,31%, malgré l'aveu d'une baisse depuis 1,62 vers 1,46 millions de ses livraisons de voitures, véhicules utilitaires sportifs et professionnels.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,71%, bien que les autorités aient fait savoir que la production manufacturière britannique avait subi en mai son pire revers en quatre mois.
La City suivait toujours le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings gonflait ainsi de 0,86%, et Lloyds Banking de 0,88%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en pointe avec 1,83 et 6,20%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,87 et 2,28%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Polymetal suivait le même chemin avec 3,31 et 3,92%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Hikma Pharmaceuticals se consolidait de 1,90% après que l'UBS en ait relevé l'appréciation depuis la neutralité vers le conseil d'achat, après qu'il ait revu ses estimations de croissance de revenus annuels depuis 13 vers 17%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,38% aussi.
Le groupe des ministres des finances de l'Union Européenne procèdera quand à lui aujourd'hui à de nouveaux pourparlers à Bruxelles.