Investing.com - Les bourses européennes étaient demeuraient positives ce lundi après-midi, le moral ayant été renforcé par les bons chiffres de la croissance de la Chine, malgré l'ombre des incertitudes au sujet des orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,17%, le CAC 40 français de 0,34%, et le DAX 30 allemand de 0,11%.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que le secoonde produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
La nervosité demeurait palpable en raison des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
Les bourses américaines de la planète étaient remontées la semaine passée, après que son président Ben Bernanke ait rappelé que l'économie nationale nécessitait le maintien des aides en place.
La finance gardait le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 3,72 et 1,05%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,27 et 1,15%.
Le magazine Focus avait auparavant fait savoir que Wolfgang Schäuble, ministre des finances germanique, avait abordé Axel Weber, président de l'UBS, afin d'évaluer son intérêt pour le rachat des actions du premier d'entre eux détenues par l'état allemand.
La périphérie était plus divisée, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 3 et 0,16%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant par contre 0,08 et 0,11%.
Le transporteur maritime Kühne & Nagel s'élevait quand à lui de 3,54% après avoir revendiqué 6,3% de bénéfices supplémentaires, les amenant à 153 millions de CHF, conformément aux estimations.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,37%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la majorité de leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings avançait ainsi de 0,43% et Barclays de 1,41%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçaient en pointe avec 3,42 et 3,73%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient oins unanimes, le mastodonte minier BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American amassant à,40 et 0,91%, alors que Rio Tinto et Vedanta Resources fondaient de 0,56 et 1,74%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,16% ausi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,22%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,17%, le CAC 40 français de 0,34%, et le DAX 30 allemand de 0,11%.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que le secoonde produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
La nervosité demeurait palpable en raison des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
Les bourses américaines de la planète étaient remontées la semaine passée, après que son président Ben Bernanke ait rappelé que l'économie nationale nécessitait le maintien des aides en place.
La finance gardait le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 3,72 et 1,05%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,27 et 1,15%.
Le magazine Focus avait auparavant fait savoir que Wolfgang Schäuble, ministre des finances germanique, avait abordé Axel Weber, président de l'UBS, afin d'évaluer son intérêt pour le rachat des actions du premier d'entre eux détenues par l'état allemand.
La périphérie était plus divisée, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 3 et 0,16%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant par contre 0,08 et 0,11%.
Le transporteur maritime Kühne & Nagel s'élevait quand à lui de 3,54% après avoir revendiqué 6,3% de bénéfices supplémentaires, les amenant à 153 millions de CHF, conformément aux estimations.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,37%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la majorité de leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings avançait ainsi de 0,43% et Barclays de 1,41%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçaient en pointe avec 3,42 et 3,73%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient oins unanimes, le mastodonte minier BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American amassant à,40 et 0,91%, alors que Rio Tinto et Vedanta Resources fondaient de 0,56 et 1,74%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,16% ausi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,22%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.