Les Bourses européennes ne s'éloignent guère de leurs équilibres (-0,1% à Londres +0,2% à Paris et à Francfort), après la parution de chiffres de la croissance américaine sans surprise au titre du trimestre précédent.
Le PIB des Etats-Unis a progressé de 3,5% en rythme annuel au troisième trimestre, selon le Département du Commerce qui confirme donc sa première estimation, alors que les économistes anticipaient en moyenne 3,6%.
'Les investisseurs cherchent des rachats à bon compte sur les actions à valeur, après les lourdes pertes essuyées ces dernières semaines', note Konstantinos Anthis, responsable de la recherche chez ADS Securities.
'Le ralentissement de l'activité semble se poursuivre, et même si les Etats-Unis connaissent encore une croissance solide, un ralentissement de l'activité industrielle est probable ces prochains mois', prévient toutefois Aurel GBC.
'Les indicateurs de 'carnets ou commandes' à l'exportation se sont nettement dégradés, traduisant un impact réel et sensible des inquiétudes autour de la 'guerre commerciale' entre les Etats-Unis et la Chine', étaye le bureau d'études.
Sur le front des valeurs, Tele2 s'adjuge 1,3% sur l'OMX, au lendemain de l'autorisation par la Commission européenne du projet d'acquisition de sa filiale néerlandaise par T-Mobile NL, une filiale de Deutsche Telekom (DE:DTEGn).
Faurecia (PA:EPED) lâche 4,1% à Paris, pénalisé par des propos de Bernstein qui initie un suivi avec une opinion 'sous-performance' et un objectif de cours de 30 euros, mettant en avant l'exposition de l'équipementier automobile à son activité de sièges.
Unilever (LON:ULVR) grappille 0,4% à Amsterdam, alors que le groupe aurait coiffé Nestlé (SIX:NESN) (-0,2% à Zurich) sur le poteau et serait entré en négociations exclusives en vue de racheter la division indienne de nutrition de GSK, selon le Financial Times.
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Le PIB des Etats-Unis a progressé de 3,5% en rythme annuel au troisième trimestre, selon le Département du Commerce qui confirme donc sa première estimation, alors que les économistes anticipaient en moyenne 3,6%.
'Les investisseurs cherchent des rachats à bon compte sur les actions à valeur, après les lourdes pertes essuyées ces dernières semaines', note Konstantinos Anthis, responsable de la recherche chez ADS Securities.
'Le ralentissement de l'activité semble se poursuivre, et même si les Etats-Unis connaissent encore une croissance solide, un ralentissement de l'activité industrielle est probable ces prochains mois', prévient toutefois Aurel GBC.
'Les indicateurs de 'carnets ou commandes' à l'exportation se sont nettement dégradés, traduisant un impact réel et sensible des inquiétudes autour de la 'guerre commerciale' entre les Etats-Unis et la Chine', étaye le bureau d'études.
Sur le front des valeurs, Tele2 s'adjuge 1,3% sur l'OMX, au lendemain de l'autorisation par la Commission européenne du projet d'acquisition de sa filiale néerlandaise par T-Mobile NL, une filiale de Deutsche Telekom (DE:DTEGn).
Faurecia (PA:EPED) lâche 4,1% à Paris, pénalisé par des propos de Bernstein qui initie un suivi avec une opinion 'sous-performance' et un objectif de cours de 30 euros, mettant en avant l'exposition de l'équipementier automobile à son activité de sièges.
Unilever (LON:ULVR) grappille 0,4% à Amsterdam, alors que le groupe aurait coiffé Nestlé (SIX:NESN) (-0,2% à Zurich) sur le poteau et serait entré en négociations exclusives en vue de racheter la division indienne de nutrition de GSK, selon le Financial Times.
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