Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, établissant un pic de quatre mois par rapport à son homologue nippon après que la banque centrale des Etats-Unis ait une fois de plus laissé entendre que ses aides pourraient se tarir sous peu, tandis que l'européen subissait des statistiques mitigées.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,85% pour se hisser à 100,88, son plus haut niveau depuis le 10 juillet.
Les décideurs de la Réserve Fédérale avaient en effet une nouvelle fois rappelé dans le compte-rendu détaillé de leur prise de cap d'octobre que celle-ci pourraient réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels "dans les prochains mois" au cas où l'économie progresserait comme escompté.
La Banque du Japon a quand à elle opté à l'aube pour le statu quo à l'issue de sa réunion, visant toujours les 2% d'inflation.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3437.
Mais les performances mitigées des acteurs privés au sein du bloc où ce dernier a cours laissaient craindre une baisse de régime de la relance.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son baromètre de l'activité du secteur secondaire s'y était regonflé depuis les 51,3 définitifs d'octobre jusqu'à 51,5.
Son équivalent tertiaire s'est cependant trouvé raboté de 51,6 à 50,9 sur la même période, une déception au vu des 51,9 pressentis.
La locomotive allemande avait pourtant donné des motifs d'espoir à l'aube, ses indices équivalents bondissant dans le même temps respectivement de 51,7 à 52,5, un pic de 29 mois, et de 52,9 à 54,5, sa plus forte valeur depuis février.
Mais la devise de l'Europe avait plongé dans une ornière journalière en raison de la première déconvenue en trois provenant de la France, seconde économie régionale.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,11% pour chuter à 1,6086.
Le bureau britannique des statistiques avait pour sa part annoncé que les déficits de l'état britannique avaiennt fondu depuis 8,242 vers 8,078 milliards de GBP d'une année sur l'autre en octobre.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,14% pour culminer à 0,9174.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,71% pour se retrouver à 0,9267, le NZD/USD se laissant arracher 0,73% pour toucher le fond à 0,8210 et l'USD/CAD prenant 0,16% pour monter à 1,0463.
La déception causée par les résultats chinois n'a pas aidé à redorer le blason des deux premières.
Il a ainsi été noté en milieu de séance que l'indice manufacturier chinois établi par la banque HSBC s'était rétracté de 50,9 corrigés à 50,4 pour novembre, au lieu des 50,8 déjà redoutés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,15% pour se situer à 81,21.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,85% pour se hisser à 100,88, son plus haut niveau depuis le 10 juillet.
Les décideurs de la Réserve Fédérale avaient en effet une nouvelle fois rappelé dans le compte-rendu détaillé de leur prise de cap d'octobre que celle-ci pourraient réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels "dans les prochains mois" au cas où l'économie progresserait comme escompté.
La Banque du Japon a quand à elle opté à l'aube pour le statu quo à l'issue de sa réunion, visant toujours les 2% d'inflation.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3437.
Mais les performances mitigées des acteurs privés au sein du bloc où ce dernier a cours laissaient craindre une baisse de régime de la relance.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son baromètre de l'activité du secteur secondaire s'y était regonflé depuis les 51,3 définitifs d'octobre jusqu'à 51,5.
Son équivalent tertiaire s'est cependant trouvé raboté de 51,6 à 50,9 sur la même période, une déception au vu des 51,9 pressentis.
La locomotive allemande avait pourtant donné des motifs d'espoir à l'aube, ses indices équivalents bondissant dans le même temps respectivement de 51,7 à 52,5, un pic de 29 mois, et de 52,9 à 54,5, sa plus forte valeur depuis février.
Mais la devise de l'Europe avait plongé dans une ornière journalière en raison de la première déconvenue en trois provenant de la France, seconde économie régionale.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,11% pour chuter à 1,6086.
Le bureau britannique des statistiques avait pour sa part annoncé que les déficits de l'état britannique avaiennt fondu depuis 8,242 vers 8,078 milliards de GBP d'une année sur l'autre en octobre.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,14% pour culminer à 0,9174.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,71% pour se retrouver à 0,9267, le NZD/USD se laissant arracher 0,73% pour toucher le fond à 0,8210 et l'USD/CAD prenant 0,16% pour monter à 1,0463.
La déception causée par les résultats chinois n'a pas aidé à redorer le blason des deux premières.
Il a ainsi été noté en milieu de séance que l'indice manufacturier chinois établi par la banque HSBC s'était rétracté de 50,9 corrigés à 50,4 pour novembre, au lieu des 50,8 déjà redoutés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,15% pour se situer à 81,21.