Adocia a annoncé ce mercredi après la clôture avoir déploré une perte nette de 4,2 millions d'euros au titre du premier semestre de son exercice, à comparer avec un bénéfice de 6,7 millions un an plus tôt.
Ce basculement dans le rouge s'explique par la hausse des frais de recherche et développement, laquelle a conduit à des dépenses opérationnelles de 20 millions d'euros, contre 11,9 millions en 2015.
La société a toutefois réduit sa perte opérationnelle en glissement annuel, de 4,8 à 4,2 millions d'euros à fin juin. Elle a par ailleurs fait état d'une trésorerie toujours solide de l'ordre de 61 millions d'euros au terme de la première moitié de l'exercice, contre 72,1 millions au 1er janvier.
'Nous avons annoncé, ce semestre, notre décision de renforcer et de concentrer nos efforts sur les nouveaux traitements du diabète. Cette décision stratégique, basée sur notre expertise reconnue dans le domaine du diabète, a été prise afin de tirer profit d'une synergie de moyens entre nos différents projets. Notre objectif présent est d'appliquer notre plate-forme BioChaperone à d'autres protéines thérapeutiques utilisées dans le traitement du diabète', a commenté Gérard Soula, PDG d'Adocia, qui souligne en outre que 'des premiers résultats précliniques encourageants ont été obtenus avec une formulation stable du glucagon humain qui vise le traitement des hypoglycémies sévères, indication dite de 'rescue', ainsi que l'utilisation dans le pancréas artificiel bi-hormonal'.
'Ce système, actuellement développé par plusieurs sociétés, a conduit à des résultats cliniques très prometteurs pour le traitement du diabète', a conclu le dirigeant.
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Ce basculement dans le rouge s'explique par la hausse des frais de recherche et développement, laquelle a conduit à des dépenses opérationnelles de 20 millions d'euros, contre 11,9 millions en 2015.
La société a toutefois réduit sa perte opérationnelle en glissement annuel, de 4,8 à 4,2 millions d'euros à fin juin. Elle a par ailleurs fait état d'une trésorerie toujours solide de l'ordre de 61 millions d'euros au terme de la première moitié de l'exercice, contre 72,1 millions au 1er janvier.
'Nous avons annoncé, ce semestre, notre décision de renforcer et de concentrer nos efforts sur les nouveaux traitements du diabète. Cette décision stratégique, basée sur notre expertise reconnue dans le domaine du diabète, a été prise afin de tirer profit d'une synergie de moyens entre nos différents projets. Notre objectif présent est d'appliquer notre plate-forme BioChaperone à d'autres protéines thérapeutiques utilisées dans le traitement du diabète', a commenté Gérard Soula, PDG d'Adocia, qui souligne en outre que 'des premiers résultats précliniques encourageants ont été obtenus avec une formulation stable du glucagon humain qui vise le traitement des hypoglycémies sévères, indication dite de 'rescue', ainsi que l'utilisation dans le pancréas artificiel bi-hormonal'.
'Ce système, actuellement développé par plusieurs sociétés, a conduit à des résultats cliniques très prometteurs pour le traitement du diabète', a conclu le dirigeant.
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