Investing.com - L'euro s'est rapproché ce mercredi d'un creux des dix derniers mois face à la livre sterling, le coût des emprunts italiens demeurant proche des niveaux estimés intenables suite à une vente aux enchères d'obligations gouvernementales.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8392 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 22 février, puis s'est stabilisée vers 0.8406, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8358, son plancher du 18 février, et de rencontrer de la résistance à 0.8459, son plafond du 14.
Le moral des investisseurs a été plombé ces derniers jours par l'idée selon laquelle le sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière n'aurait pas permis de mettre au point un plan radical de lutte contre le problème du surendettement régional.
L'Italie a pour sa part vendu le total des 3 milliards d'euros en obligations à 5 ans envisagés, à un taux moyen de 6.47%, et donc supérieur aux 6.29% réalisés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Celui des bons du trésor décennaux du pays ont par la suite bondi jusqu'à 7.17%, un niveau largement considéré comme intenable.
La demande pour les valeurs refuge a quand à elle bénéficié du soutien des propos de la Réserve Fédérale, déclarant que les turbulences sur les marchés découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro menaçaient l'économie des Etats-Unis, se retenant cependant d'esquisser de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
Une étude émanant des autorités avait auparavant signalé que le nombre de personnes inscrites au chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'il n'avait été craint, avec 3 000 personnes contre 2 500 le mois précédent.
Les experts redoutaient de le voir augmenter de 16 100 personnes pour la période considérée.
Elle précisait également que le taux de chômage demeurait stable à 8.3%, au lieu de s'élever à 8.4% comme prévu.
Le devise de la Grande-Bretagne a également gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD grignotant 0.08% pour se hisser à 1.5492.
Un rapport officiel avait auparavant montré que la production industrielle de la zone euro avait subi en octobre un repli inattendu, plongeant ainsi pour son second mois d'affilée.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8392 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 22 février, puis s'est stabilisée vers 0.8406, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8358, son plancher du 18 février, et de rencontrer de la résistance à 0.8459, son plafond du 14.
Le moral des investisseurs a été plombé ces derniers jours par l'idée selon laquelle le sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière n'aurait pas permis de mettre au point un plan radical de lutte contre le problème du surendettement régional.
L'Italie a pour sa part vendu le total des 3 milliards d'euros en obligations à 5 ans envisagés, à un taux moyen de 6.47%, et donc supérieur aux 6.29% réalisés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Celui des bons du trésor décennaux du pays ont par la suite bondi jusqu'à 7.17%, un niveau largement considéré comme intenable.
La demande pour les valeurs refuge a quand à elle bénéficié du soutien des propos de la Réserve Fédérale, déclarant que les turbulences sur les marchés découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro menaçaient l'économie des Etats-Unis, se retenant cependant d'esquisser de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
Une étude émanant des autorités avait auparavant signalé que le nombre de personnes inscrites au chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'il n'avait été craint, avec 3 000 personnes contre 2 500 le mois précédent.
Les experts redoutaient de le voir augmenter de 16 100 personnes pour la période considérée.
Elle précisait également que le taux de chômage demeurait stable à 8.3%, au lieu de s'élever à 8.4% comme prévu.
Le devise de la Grande-Bretagne a également gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD grignotant 0.08% pour se hisser à 1.5492.
Un rapport officiel avait auparavant montré que la production industrielle de la zone euro avait subi en octobre un repli inattendu, plongeant ainsi pour son second mois d'affilée.