« Attachez vos ceintures » — Les stratèges de BTIG mettent en garde contre des turbulences à venir
Investing.com - Ripple est promis à un avenir doré - car si Bitcoin est assis sur son trône poussiéreux de "l’or numérique", XRP l’a prouvé depuis longtemps : La technologie bat la tradition. Avec une blockchain qui déclasse le bitcoin en termes de vitesse, de flexibilité et d’efficacité, Ripple n’est pas seulement un concurrent, mais le fossoyeur potentiel du modèle obsolète du bitcoin. Mais alors que les adeptes de la crypto misent sur la domination prétendument inébranlable du bitcoin, il s’avère que si l’on veut l’avenir, il faut acheter du XRP.
Pourquoi le Ripple renvoie le Bitcoin à l’âge de pierre ?
XRP n’est pas un coin - c’est une révolution technologique sous stéroïdes. Alors que le Bitcoin se complaît dans la nostalgie en tant qu’"or numérique", le ledger XRP (XRPL) montre comment la blockchain doit fonctionner aujourd’hui : rapidement, efficacement et au quotidien.
Champ de bataille : la vitesse des transactions :
Bitcoin réalise un maigre 7 transactions par seconde (TPS) - une plaisanterie face aux 1.500 TPS de XRPL. Alors que les utilisateurs de Bitcoin attendent des heures pour obtenir des confirmations (coût : jusqu’à 50 dollars), XRP arrive à 3-5 secondes pour une confirmation de transaction et un coût de 0,0001 dollar - une gifle à l’âge de pierre de la blockchain.
Technologie : Ethereum light - mais sûre !
David Schwartz, directeur technique de Ripple, démonte sans pitié le bitcoin :
"Bitcoin s’accroche au passé. XRPL combine la sécurité de Bitcoin (via le modèle UTXO) avec la flexibilité d’Ethereum - sans ses smart contracts sujets aux erreurs. Les portefeuilles matériels nous adorent, les développeurs aussi".
XRPL utilise un modèle hybride : les transactions sont clairement traçables comme pour Bitcoin, mais permettent en même temps la tokenisation et les protocoles DeFi. Des banques comme Santander (BME:SAN) ou Bank of America (NYSE:BAC) utilisent déjà Ripple pour les paiements transfrontaliers, tandis que Bitcoin prend la poussière comme timbre numérique.
Le talon d’Achille de Bitcoin : Pas de mise à niveau possible
Le code de Bitcoin est un monument rigide : chaque modification nécessite des forks difficiles (voir le drame de Bitcoin Cash.) XRPL, en revanche, est dynamique - les mises à jour comme la fonctionnalité Hooks (mini-contrats intelligents) arrivent sans chaos. Schwartz précise :
"Bitcoin ne peut pas s’adapter. Il est comme un Nokia (HE:NOKIA) 3310 à l’époque des smartphones - mignon, mais inutile".
Cas d’application XRP vs. objet de spéculation BTC
Alors que le bitcoin s’enlise dans des cycles de pump-and-dump, le XRP pousse à une véritable utilisation :
Les banques centrales testent XRPL pour les monnaies numériques (CBDC).
Des prestataires de services de paiement comme MoneyGram utilisent XRP pour des transferts en temps réel.
NFTs sur XRPL : sans ETHs, le chaos des frais de gaz.
Le bitcoin ? Un fossile (NASDAQ:FOSL) qui dépend du "store of value". Ripple ? L’avenir - aujourd’hui.
Le système bancaire est si lourd
Pourquoi le monde s’accroche-t-il à des cycles salariaux obsolètes de 30 jours ? La réponse est aussi simple que désenchantée : les banques en profitent ! Les systèmes de paiement traditionnels sont un vestige de l’ère pré-Internet - lents, coûteux et pleins de frictions dues aux intermédiaires. Brad Garlinghouse, CEO de Ripple, déchire la façade :
"Les salaires mensuels n’existent que parce que les banques compliquent artificiellement la facturation. Si nous utilisions la technologie qui existe, les travailleurs pourraient recevoir leur argent toutes les heures".
La réalité : les virements prennent des jours, coûtent cher en frais et mobilisent des liquidités. Les banques gagnent de l’argent sur ce blocage - que ce soit en accordant des crédits aux entreprises qui attendent des liquidités ou aux travailleurs qui doivent recourir à des crédits à découvert.
Mais la solution est là : XRP permet des transactions en 3 à 5 secondes pour 0,0001 dollar. Les paiements de salaires en temps réel ne créeraient pas seulement une liberté financière, mais aideraient également les gig workers, les freelances ou les travailleurs postés à payer leurs factures à temps - sans piège de l’endettement. Le blocage vient d’en haut : les régulateurs et les banques craignent la perte de contrôle. Mais Garlinghouse met en garde :
"Celui qui ne s’adapte pas sera dépassé - et rapidement".
La SEC capitule sur Robinhood (NASDAQ:HOOD) - Le XRP de Ripple sur le point de percer ?
La SEC donne des raisons d’espérer à l’armée XRP : l’autorité a mis fin à son enquête de 11 mois contre Robinhood Crypto - sans sanctions, sans aveu de culpabilité. Une débâcle pour l’autorité de régulation autrefois agressive. Le juriste en chef de Robinhood, Dan Gallagher, règle ses comptes avec virulence :
"L’affaire était sans fondement dès le départ. La SEC a perdu avant même de commencer - Robinhood n’a jamais négocié de titres".
Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Sous l’égide de l’Acting Chair Mark Uyeda et de la nouvelle Crypto Task Force (dirigée par la commissaire pro-blockchain Hester Peirce), la SEC opère un changement de cap à 180 degrés :
SAB 121 - renversé : Les banques peuvent désormais conserver des crypto-actifs.
Poursuite de Coinbase (NASDAQ:COIN) - abandonnée.
Procédure Binance/Lejilex - suspendue jusqu’en avril.
Enquête sur Opensea - abandonnée.
Un signal clair : l’ère de la "régulation par les poursuites judiciaires" est terminée. Pour Ripple, cela signifie un espoir vital. Car la SEC reste encore silencieuse sur la poursuite ou non de son appel dans le jugement sur la vente programmatique de XRP. Un retrait ne soulagerait pas seulement Ripple, mais ouvrirait également la porte à un ETF XRP - un gamechanger institutionnel. Mais la SEC hésite. Pourquoi ? Un aveu de culpabilité après le désastre de Robinhood serait fatal.