Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture morose ce jeudi après-midi, bien que le parlement des Etats-Unis ait adopté in extremis une loi permettant de relancer les administrations et d'augmenter la limite des dettes du pays, en raison de l'ombre persistante des conséquences économiques des débrayages.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,21% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
L'ambiance s'est apaisée avec le soulagement apporté par l'accord de dernière minute ayant permis d'éviter un défaut de paiement américain sans précédent.
Il permettra de payer les fonctionnaires jusqu'au 15 janvier et de remonter le plafond d'endettement national jusqu'au 7 février, les deux camps ayant accepté de discuter des problèmes de budget plus généraux afin de tenter de trouver une solution à plus long terme d'ici le 13 décembre.
L'impact de celles-ci et la persistance de l'épée de Damoclès de la dette continuaient cependant à préoccuper les observateurs, le bricolage temporaire ne résolvant pas les problèmes de fond opposant démocrates et républicains.
Les constructeurs automobiles étaient attendus au tournant après qu'il ait été rapporté que Ford Motors comptait prolonger la production de sa gamme de véhicules utilitaires F-Series pour les modèles de l'année prochaine, afin de préserver l'écart creusé sur son rival General Motors.
Il n'en freinait pas moins de 0,35% en pré-ouverture.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, grignotait 0,11% dans le même temps, s'étant placé sous les feux de la rampe après avoir déclaré vouloir assouplir les règles de partage public du contenu de ses membres adolescents, afin de rajeunir son audience et couper l'herbe sous le pied de ses concurrents.
L'actualité était aussi le fait d'American Express, avançant de 0,33% après les dernières transactions, le fournisseur de cartes de crédit ayant dépassé les attentes aux troisième trimestre, grâce à l'augmentation des dépenses de ses concurrents.
Sur le front informatique, International Business Machines fondait quand à lui de 5,96%, après avoir déploré hier in sixième trimestre d'affilée de repli de son chiffre d'affaires, et les pertes de sa branche centrée sur le matériel informatique.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Goldman Sachs, Verizon Communications, Google, United Health et Union Pacific, dont les résultats trimestriels seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,34%, le CAC 40 français de 0,39%, le DAX 30 allemand de 0,47% et le FTSE 100 britannique de 0,13%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,57%, mais le Nikkei 225 japonais epochait 0,83%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté publier aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,21% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
L'ambiance s'est apaisée avec le soulagement apporté par l'accord de dernière minute ayant permis d'éviter un défaut de paiement américain sans précédent.
Il permettra de payer les fonctionnaires jusqu'au 15 janvier et de remonter le plafond d'endettement national jusqu'au 7 février, les deux camps ayant accepté de discuter des problèmes de budget plus généraux afin de tenter de trouver une solution à plus long terme d'ici le 13 décembre.
L'impact de celles-ci et la persistance de l'épée de Damoclès de la dette continuaient cependant à préoccuper les observateurs, le bricolage temporaire ne résolvant pas les problèmes de fond opposant démocrates et républicains.
Les constructeurs automobiles étaient attendus au tournant après qu'il ait été rapporté que Ford Motors comptait prolonger la production de sa gamme de véhicules utilitaires F-Series pour les modèles de l'année prochaine, afin de préserver l'écart creusé sur son rival General Motors.
Il n'en freinait pas moins de 0,35% en pré-ouverture.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, grignotait 0,11% dans le même temps, s'étant placé sous les feux de la rampe après avoir déclaré vouloir assouplir les règles de partage public du contenu de ses membres adolescents, afin de rajeunir son audience et couper l'herbe sous le pied de ses concurrents.
L'actualité était aussi le fait d'American Express, avançant de 0,33% après les dernières transactions, le fournisseur de cartes de crédit ayant dépassé les attentes aux troisième trimestre, grâce à l'augmentation des dépenses de ses concurrents.
Sur le front informatique, International Business Machines fondait quand à lui de 5,96%, après avoir déploré hier in sixième trimestre d'affilée de repli de son chiffre d'affaires, et les pertes de sa branche centrée sur le matériel informatique.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Goldman Sachs, Verizon Communications, Google, United Health et Union Pacific, dont les résultats trimestriels seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,34%, le CAC 40 français de 0,39%, le DAX 30 allemand de 0,47% et le FTSE 100 britannique de 0,13%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,57%, mais le Nikkei 225 japonais epochait 0,83%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté publier aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres de l'activité manufacturière de la région de Philadelphie.