Investing.com - Les bourses européennes restaient sur la défensive ce mardi, la confiance sapée par des statistiques germaniques peu encourageantes et par le bras de fer politique aux Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,43%, et le DAX 30 allemand de 0,18%.
Les commandes auprès des usines de l'Allemagne ont en effet essuyé en août un revers inattendu de 0,3%, prolongeant les 1,9% de juillet, alors qu'un sursaut de 1,2% semblait probable.
Aux Etats-Unis, le président Barack Obama a rappelé hier qu'il était disposé à négocier avec les élus républicains sur toutes sortes de sujets, y compris la santé et la politique énergétique, mais pas sous la menace d'une prolongation des mises à pied partielles des fonctionnaires.
Il leur a d'autre part demandé relever le plafond d'endettement national avant la date fatidique du 17 octobre, après laquelle le ministère des finances a estimé qu'une défaillance sans précédent dans leurs remboursements serait difficilement évitable.
La finance s'est retrouvée en berne , la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,38%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,55 et 1,07%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,32 et 0,93%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,12%.
Le fabricant de médicaments Novartis sombrait par contre de 0,96% après que JP Morgan-Chase en ait rabaissé l'appréciation, passant du poids lourd à la neutralité.
Certains avaient tout de même le sourire, le fournisseur d'équipements de télécommunication Alcatel-Lucent engrangeant 1,42% grâce à l'annonce de 10.000 licenciements, dans le cadre d'un plan visant à économiser un milliard d'euros de frais de fonctionnement.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, reculait de 0,85%, toujours tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Glencore Xstrata et Rio Tinto fondaient ainsi de 1,55 et 1,67%, tandis que les mastodontes miliers BHP Billiton et Polymetal faisaient encore pire avec 1,90 et 2,98%.
La City n'était pas à l'abri, la Royal Bank of Scotland trébuchant de 0,19% et HSBC Holdings de 0,59%, avec Lloyds Banking et Barclays en queue de peloton avec 1,25 et 1,33%.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,02%.
Une étude officielle avait mis en relief ce matin un excédent du commerce extérieur allemand ayant davantage augmenté en août qu'espéré, passant des 15 milliards d'euros après révision à la hausse précédents à 15,6 milliards.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 15,1 milliards pour la période considérée.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,43%, et le DAX 30 allemand de 0,18%.
Les commandes auprès des usines de l'Allemagne ont en effet essuyé en août un revers inattendu de 0,3%, prolongeant les 1,9% de juillet, alors qu'un sursaut de 1,2% semblait probable.
Aux Etats-Unis, le président Barack Obama a rappelé hier qu'il était disposé à négocier avec les élus républicains sur toutes sortes de sujets, y compris la santé et la politique énergétique, mais pas sous la menace d'une prolongation des mises à pied partielles des fonctionnaires.
Il leur a d'autre part demandé relever le plafond d'endettement national avant la date fatidique du 17 octobre, après laquelle le ministère des finances a estimé qu'une défaillance sans précédent dans leurs remboursements serait difficilement évitable.
La finance s'est retrouvée en berne , la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,38%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,55 et 1,07%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se rétractant de 0,32 et 0,93%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,12%.
Le fabricant de médicaments Novartis sombrait par contre de 0,96% après que JP Morgan-Chase en ait rabaissé l'appréciation, passant du poids lourd à la neutralité.
Certains avaient tout de même le sourire, le fournisseur d'équipements de télécommunication Alcatel-Lucent engrangeant 1,42% grâce à l'annonce de 10.000 licenciements, dans le cadre d'un plan visant à économiser un milliard d'euros de frais de fonctionnement.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, reculait de 0,85%, toujours tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Glencore Xstrata et Rio Tinto fondaient ainsi de 1,55 et 1,67%, tandis que les mastodontes miliers BHP Billiton et Polymetal faisaient encore pire avec 1,90 et 2,98%.
La City n'était pas à l'abri, la Royal Bank of Scotland trébuchant de 0,19% et HSBC Holdings de 0,59%, avec Lloyds Banking et Barclays en queue de peloton avec 1,25 et 1,33%.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,02%.
Une étude officielle avait mis en relief ce matin un excédent du commerce extérieur allemand ayant davantage augmenté en août qu'espéré, passant des 15 milliards d'euros après révision à la hausse précédents à 15,6 milliards.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 15,1 milliards pour la période considérée.