Shell a publié mercredi une série de scénarios énergétiques prévoyant une forte augmentation de la demande mondiale de gaz naturel liquéfié (GNL) dans les années à venir. Ces scénarios, qui ne reflètent pas la planification stratégique de Shell, présentent différentes perspectives sur l’avenir de la consommation et de la sécurité énergétique.
Dans le scénario "Surge", qui suppose une augmentation significative de la productivité mondiale grâce à l’utilisation généralisée de l’intelligence artificielle, la demande de GNL devrait atteindre environ 550 millions de tonnes par an (MTPA) d’ici la fin de la décennie.
Cette croissance est alimentée par des projets en cours au Qatar et aux États-Unis. Au-delà de 2030, le scénario "Surge" prévoit que l’approvisionnement en GNL continuera de croître, pouvant atteindre 700 MTPA après 2040.
Le scénario "Archipelagos" envisage que les pays privilégient leurs propres intérêts, ce qui pourrait avoir un impact sur le développement collaboratif de l’IA et des sources d’énergie renouvelable.
À l’inverse, le scénario "Horizon" est basé sur l’atteinte de zéro émission nette de CO2 d’ici 2050 et la limitation de l’augmentation de la température mondiale moyenne à moins de 1,5 degré Celsius d’ici la fin du siècle. Dans ce scénario, la demande de GNL devrait atteindre son pic au début des années 2030.
Les scénarios de Shell explorent également l’avenir du gaz naturel et du pétrole. La demande de gaz naturel devrait croître jusqu’en 2045 dans le scénario "Surge", tandis que dans le scénario "Horizon", elle atteint son pic à court terme pour s’aligner sur les objectifs d’émissions nettes nulles. Concernant le pétrole, l’électrification du transport routier est citée comme un facteur clé pour atteindre le pic de la demande au plus tard en 2030 dans le scénario "Surge".
Dans l’ensemble, les scénarios suggèrent que la demande d’énergie primaire en 2050 pourrait être près d’un quart plus élevée qu’en 2024, en fonction de facteurs tels que les taux de croissance économique, les gains d’efficacité énergétique et le rythme de l’électrification. Shell prévoit de publier plus tard cette année des perspectives plus détaillées axées sur le GNL.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.