Investing.com - Le dollar U.S. ne se laissait pas abattre face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, bénéficiant encore de la belle performance de l'emploi des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, il restait aux abords d'un pic de plus d'une semaine par rapport au yen, l'USD/JPY grimpant de 0,26% pour atteindre 99,27.
L'économie américaine a en effet créé 165.000 postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 145.000 était envisagée, tandis que le taux de chômage fondait sans crier gare vers 7,5% dans le même temps, son plus bas niveau en quatre mois.
La devise nippone demeurait pour sa part sur la sellette, alors que l'attente de nouveaux accommodements radicaux de la part de son émettrice demeurait intacte.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3105.
Une étude officielle avait d'autre part montré en fin de matinée que les ventes au détail avaient sans surprise décliné de 0,1% en mars au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique, prolongeant les 0,2% d'érosion précédents.
L'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc où elle a cours était a toutefois frémi depuis 46,4 vers 47,0 pour avril, dépassant les 46,6 avancés au préalable mais demeurant cependant au-dessous des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Le billet vert a également fait mieux que résister à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,12% pour chuter à 1,5551, mais lorgnant sur un pic de deux mois et demi.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,15% pour culminer à 0,9365.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,76% pour se retrouver à 1,0237, le NZD/USD se laissant arracher 0,28% pour toucher le fond à 0,8513 et l'USD/CAD glissant de 0,03% pour déraper à 1,0078.
Cette dernière n'a guère évolué après que l'agence Statistics Canada ait signalé 8,6% de permis de construire supplémentaires en mars, pulvérisant les 1% envisagés.
La première avait perdu des plumes après que des informations émanant des autorités aient mis en relief une érosion de 0,4% des ventes au détail en mars, alors qu'un frémissement de 0,2% était espéré.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,09% pour se situer à 82,23.
Le volume des transactions semblait devoir rester minime en ce jour de festivités du mois de mai dans la City de Londres, plaque tournante mondiale du trafic de devises.
En seconde partie de séance européenne, il restait aux abords d'un pic de plus d'une semaine par rapport au yen, l'USD/JPY grimpant de 0,26% pour atteindre 99,27.
L'économie américaine a en effet créé 165.000 postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 145.000 était envisagée, tandis que le taux de chômage fondait sans crier gare vers 7,5% dans le même temps, son plus bas niveau en quatre mois.
La devise nippone demeurait pour sa part sur la sellette, alors que l'attente de nouveaux accommodements radicaux de la part de son émettrice demeurait intacte.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,10% pour tomber à 1,3105.
Une étude officielle avait d'autre part montré en fin de matinée que les ventes au détail avaient sans surprise décliné de 0,1% en mars au sein du bloc ayant adopté la monnaie unique, prolongeant les 0,2% d'érosion précédents.
L'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc où elle a cours était a toutefois frémi depuis 46,4 vers 47,0 pour avril, dépassant les 46,6 avancés au préalable mais demeurant cependant au-dessous des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Le billet vert a également fait mieux que résister à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,12% pour chuter à 1,5551, mais lorgnant sur un pic de deux mois et demi.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,15% pour culminer à 0,9365.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,76% pour se retrouver à 1,0237, le NZD/USD se laissant arracher 0,28% pour toucher le fond à 0,8513 et l'USD/CAD glissant de 0,03% pour déraper à 1,0078.
Cette dernière n'a guère évolué après que l'agence Statistics Canada ait signalé 8,6% de permis de construire supplémentaires en mars, pulvérisant les 1% envisagés.
La première avait perdu des plumes après que des informations émanant des autorités aient mis en relief une érosion de 0,4% des ventes au détail en mars, alors qu'un frémissement de 0,2% était espéré.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,09% pour se situer à 82,23.
Le volume des transactions semblait devoir rester minime en ce jour de festivités du mois de mai dans la City de Londres, plaque tournante mondiale du trafic de devises.