L’informatique quantique va-t-elle détrôner l’IA en bourse ? 8 opportunités explosives
Investing.com - Droits de douane punitifs, projets de loi budgétaires massifs, guerres aériennes violentes : le premier semestre 2025 a été marqué par une multitude d’événements qui ont secoué les marchés, faisant d’abord monter les actions, puis chuter, avant de rebondir à nouveau.
La volatilité s’est poursuivie jusqu’aux derniers jours des six premiers mois de l’année, les actions mondiales rebondissant pour atteindre des sommets historiques.
"Les investisseurs ont dû faire face à des changements de politique, des fluctuations de sentiment et des événements géopolitiques", ont écrit les analystes d’UBS dans une note aux clients. "Pourtant, sous la surface, les contours d’un environnement plus constructif se dessinent."
L’indice de référence S&P 500 et le Nasdaq Composite, à forte composante technologique, ont tous deux atteint de nouveaux sommets cette semaine, soutenus par l’espoir d’une série d’accords commerciaux de la Maison Blanche et des signes que, même après plusieurs avertissements sur les conséquences économiques des droits de douane agressifs du président Donald Trump, l’économie dans son ensemble reste intacte.
Mais des incertitudes majeures pèsent encore sur les investisseurs et pourraient influencer les marchés dans les mois à venir, ont signalé les analystes d’UBS.
Tout d’abord, la trajectoire de la politique commerciale américaine reste floue, avec l’expiration imminente de la pause de 90 jours des droits de douane "réciproques" de Trump. Les marchés tentent de déterminer si la Maison Blanche abordera cette échéance en annonçant une série d’accords commerciaux, en prolongeant le délai ou en réimposant des taxes élevées sur un large éventail de partenaires commerciaux.
Le projet de loi phare de Trump constitue une autre pièce clé du puzzle du second semestre. Cette gigantesque collection de réductions d’impôts et d’augmentations des dépenses devrait élargir le déficit américain et alourdir la dette déjà colossale du pays de 36,2 billions de dollars. Cependant, les droits de douane et les budgets ne devraient pas perturber les marchés boursiers pendant une période prolongée, selon les analystes d’UBS.
"Des droits de douane élevés et des déficits persistants peuvent périodiquement déstabiliser les marchés, mais nous ne nous attendons pas à ce qu’ils mettent fin à l’expansion économique plus large ou déclenchent un repli prolongé du marché", ont-ils écrit.
Pendant ce temps, les tensions géopolitiques sont exacerbées, alors que la trêve entre Israël et l’Iran après une guerre aérienne brève mais sanglante tient bon et que les combats en Ukraine se poursuivent malgré les espoirs d’un éventuel cessez-le-feu.
Les investisseurs doivent être prêts à répondre aux "risques extrêmes" présentés par ces événements en diversifiant efficacement et en se protégeant contre leurs implications, ont déclaré les analystes d’UBS.
La façon dont la Réserve fédérale envisage d’aborder sa politique dans les mois à venir constitue une autre source d’incertitude. Certains responsables de la Fed ont signalé leur volonté de réduire bientôt les taux d’intérêt après une période de pressions inflationnistes relativement bénignes, mais la banque centrale - méfiante quant à l’impact des droits de douane de Trump - a largement adopté une attitude attentiste concernant les futures actions sur les taux.
UBS s’attend à ce que la Fed procède à une nouvelle baisse avant la fin de l’année, initiant une tendance de croissance modérée, de ralentissement des hausses de prix et de flux vers les actifs refuges qui déclenchera à son tour une baisse des rendements des obligations de qualité supérieure.
Les analystes ont également prévu que la dynamique de "dé-dollarisation" du premier semestre, qui s’est manifestée par une forte dépréciation du billet vert et un repli vers des devises étrangères comme l’euro, persistera - bien qu’à un rythme plus modéré.
Pourtant, même en tenant compte de ces différents facteurs, les forces "structurelles" - comme l’intelligence artificielle et la longévité - qui ont poussé les actions à la hausse ces dernières années devraient continuer à stimuler les rendements des actions au second semestre 2025.
"Dans ce contexte, nous recommandons aux investisseurs d’aligner leurs portefeuilles sur ces facteurs clés tout en gérant le risque d’une volatilité renouvelée", ont déclaré les analystes d’UBS.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.