Investing.com — UBS a exprimé une position prudente concernant les actions britanniques, même après que le Premier ministre Keir Starmer ait conclu des accords commerciaux avec les États-Unis et l’Inde la semaine dernière.
Dans une note publiée vendredi, la firme a souligné que pour l’indice FTSE 100, qui génère la majorité de ses bénéfices à l’étranger, le rétablissement d’un commerce mondial fluide est plus crucial que des accords bilatéraux.
UBS a fait remarquer que les accords entre les États-Unis et la Chine, ainsi qu’avec l’Europe, sont nécessaires mais font face à des résultats incertains et pourraient prendre beaucoup de temps à conclure.
Bien qu’elle ne prévoie pas de récession, UBS anticipe un ralentissement de la croissance économique, avec un assouplissement des conditions économiques mondiales et une potentielle diminution des tarifs douaniers dans les trois à six prochains mois.
Cela pourrait conduire à une reprise des actions britanniques, mais UBS ne voit pas de potentiel de hausse significatif et préfère maintenir une position en retrait.
La firme recommande aux investisseurs de rechercher une exposition aux actions britanniques via des secteurs comme l’industrie, les services publics, l’informatique et l’immobilier, qui s’alignent sur des thèmes de transformation à long terme.
UBS conseille à ses clients de se concentrer sur des stratégies qui préservent le capital ou utilisent des approches progressives pour gérer la volatilité et les risques de timing à court terme.
La firme est également à l’affût d’opportunités à court terme pour capitaliser sur les fluctuations du marché. Dans leur portefeuille d’allocation d’actifs tactique, UBS a initié un thème de valeur relative, privilégiant les actions suisses par rapport aux actions britanniques, toutes deux étant notées comme Neutres.
Cette décision est basée sur la conviction que la croissance des bénéfices suisses a atteint son plancher, contrairement à la contraction supplémentaire de 3% attendue pour les bénéfices britanniques cette année.
De plus, les entreprises suisses sont considérées comme mieux positionnées pour bénéficier des dépenses fiscales européennes et sont moins dépendantes de l’énergie que leurs homologues britanniques.
Cet article a été généré et traduit avec l’aide de l’IA et revu par un rédacteur. Pour plus d’informations, consultez nos T&C.