Investing.com - Le dollar U.S. s'est hissé à son plus haut niveau en deux ans et demi face au yen ce mercredi matin, dans le sillage de l'annonce fracassante de la démission anticipée du chef de la Banque du Japon, qui devrait entraîner des bouleversements importants dans sa politique monétaire.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 94.06 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis mais 2010, puis s'est stabilisée vers 93.72, prenant 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 91.97, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 95, son prochain seuil de résistance psychologique.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la banque centrale nippone, a en effet déclaré hier qu'il libèrerait son poste à trois semaines de la fin de son mandat quinquennal prévue de 6 avril, suivi de ses deux adjoints.
Cet évènement semblait de nature à accélérer l'arrivée d'accommodements supplémentaires destinés à lutter contre la déflation, sous la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Celui-ci devrait vraisemblablement nommer un remplaçant au cours du mois.
L'euro a quand à lui laissé du mou à son homologue de l'archipel, mais s'accrochait cependant aux abords de son sommet de 33 mois, l'EUR/JPY glissant de 0.37% pour déraper à 126.69.
La circonspection restait toutefois à l'ordre du jour à la veille de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
Mais la monnaie unique gardait cependant des partisans après qu'il ait été montré que le baromètre définitif des prestataires du tertiaire de la zone euro avait grimpé en janvier à sa plus forte valeur en dix mois, confortant les signes de relance régionale.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 94.06 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis mais 2010, puis s'est stabilisée vers 93.72, prenant 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 91.97, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 95, son prochain seuil de résistance psychologique.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la banque centrale nippone, a en effet déclaré hier qu'il libèrerait son poste à trois semaines de la fin de son mandat quinquennal prévue de 6 avril, suivi de ses deux adjoints.
Cet évènement semblait de nature à accélérer l'arrivée d'accommodements supplémentaires destinés à lutter contre la déflation, sous la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Celui-ci devrait vraisemblablement nommer un remplaçant au cours du mois.
L'euro a quand à lui laissé du mou à son homologue de l'archipel, mais s'accrochait cependant aux abords de son sommet de 33 mois, l'EUR/JPY glissant de 0.37% pour déraper à 126.69.
La circonspection restait toutefois à l'ordre du jour à la veille de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
Mais la monnaie unique gardait cependant des partisans après qu'il ait été montré que le baromètre définitif des prestataires du tertiaire de la zone euro avait grimpé en janvier à sa plus forte valeur en dix mois, confortant les signes de relance régionale.