Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans orientation précise ce mardi, une avalanche de résultats décevants ayant ravivé les inquiétudes concernant les perspectives de croissance mondiales, renforçant du même coup l'attente d'accomodements supplémentaires de la part des banques centrales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06%, alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.09% d'amélioration.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis a en effet annoncé hier que son indice de l'activité secondaire du pays était tombé de 53.5 à 49.7 en juin, son plus bas niveau depuis juillet 2009, passant ainsi sous la barre des 50 séparant la contraction de la progression pour la première fois depuis cette date.
Cette nouvelle a alimenté les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer une économie subissant les répercussions de la crise de la dette de la zone euro.
Le cap que prendra la Banque Centrale Européenne jeudi fera aussi l'objet de toutes les attentions, dans l'attente grandissante d'un rabaissement de son taux directeur.
Le secteur technologique restait sous les feux de l'actualité, après que Microsoft ait avoué que sa plus grosse acquisition sur Internet était sans valeur, annihilant ainsi tout bénéfice au dernier trimestre, le faisant plonger de 1.87% en pré-ouverture.
Le géant du logiciel a déclaré se préparer à enregistrer des pertes record de 6.4 milliards d'USD pour le quatrième trimestre, principalement imputable aux faibles performances de la régie publicitaire aQuantive, achetée il y a cinq ans.
Apple a pour sa part grignoté 0.22% avant les premières ransactions après qu'un juge ait refusé d'accéder à la requête de Samsung Electronics de lever l'interdiction de mise en vente de ses Galaxy Tab 10.1 aux Etats-Unis, accordant ainsi une bataille de plus à l'assembleur américain de l'iPhone dans la guerre mondiale des brevets sur les intelliphones et les tablettes faisant rage notamment contre son fournisseur sud-coréen.
La finance était également sur le devant de la scène, après que son directeur général Bob Diamond ait auparavant présenté ce matin démission immédiate suite au scandale des manipulations de taux d'intérêt, se retrouvant ainsi le plus haut gradé à subir les conséquences d'une enquête portant sur une dizaine de banques majeures du monde entier.
Marcus Agius, son président, avait déjà annoncé son départ hier.
L'agence de presse Bloomberg a par ailleurs fait savoir que Morgan Stanley pourrait aussi se retrouver dans le collimateur, après que des investisseurs aient affirmé que la banque aurait pousssé les agence de notation Standard & Poor's et Moody's Investor Service à attribuer en 2006 des notations positives imméritées à 23 milliards d'USD d'obligations adossées à des prêts douteux.
L'exhumation de documents internes des deux évaluateurs vient bouleverser un des plus gros procès portant sur les évaluations fantaisistes faisant suite à la débâcle financière de 2008.
Forest Laboratories faisait aussi l'actualité, après que l'investisseur Carl Icahn ait déclaré son intention d'étudier les déclarations faites par son directeur général, Howard Solomon, avant de vendre des parts de la compagnie pharmaceutique au cours des dernières années.
Les bourses européennes étaient quand à elles en hausse modérée, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 0.32%, le CAC 40 français de 0.09%, le DAX 30 allemand de 0.51% et le FTSE 100 britannique de 0.2%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.2%, et le Nikkei 225 japonais de 0.7%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06%, alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.09% d'amélioration.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis a en effet annoncé hier que son indice de l'activité secondaire du pays était tombé de 53.5 à 49.7 en juin, son plus bas niveau depuis juillet 2009, passant ainsi sous la barre des 50 séparant la contraction de la progression pour la première fois depuis cette date.
Cette nouvelle a alimenté les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer une économie subissant les répercussions de la crise de la dette de la zone euro.
Le cap que prendra la Banque Centrale Européenne jeudi fera aussi l'objet de toutes les attentions, dans l'attente grandissante d'un rabaissement de son taux directeur.
Le secteur technologique restait sous les feux de l'actualité, après que Microsoft ait avoué que sa plus grosse acquisition sur Internet était sans valeur, annihilant ainsi tout bénéfice au dernier trimestre, le faisant plonger de 1.87% en pré-ouverture.
Le géant du logiciel a déclaré se préparer à enregistrer des pertes record de 6.4 milliards d'USD pour le quatrième trimestre, principalement imputable aux faibles performances de la régie publicitaire aQuantive, achetée il y a cinq ans.
Apple a pour sa part grignoté 0.22% avant les premières ransactions après qu'un juge ait refusé d'accéder à la requête de Samsung Electronics de lever l'interdiction de mise en vente de ses Galaxy Tab 10.1 aux Etats-Unis, accordant ainsi une bataille de plus à l'assembleur américain de l'iPhone dans la guerre mondiale des brevets sur les intelliphones et les tablettes faisant rage notamment contre son fournisseur sud-coréen.
La finance était également sur le devant de la scène, après que son directeur général Bob Diamond ait auparavant présenté ce matin démission immédiate suite au scandale des manipulations de taux d'intérêt, se retrouvant ainsi le plus haut gradé à subir les conséquences d'une enquête portant sur une dizaine de banques majeures du monde entier.
Marcus Agius, son président, avait déjà annoncé son départ hier.
L'agence de presse Bloomberg a par ailleurs fait savoir que Morgan Stanley pourrait aussi se retrouver dans le collimateur, après que des investisseurs aient affirmé que la banque aurait pousssé les agence de notation Standard & Poor's et Moody's Investor Service à attribuer en 2006 des notations positives imméritées à 23 milliards d'USD d'obligations adossées à des prêts douteux.
L'exhumation de documents internes des deux évaluateurs vient bouleverser un des plus gros procès portant sur les évaluations fantaisistes faisant suite à la débâcle financière de 2008.
Forest Laboratories faisait aussi l'actualité, après que l'investisseur Carl Icahn ait déclaré son intention d'étudier les déclarations faites par son directeur général, Howard Solomon, avant de vendre des parts de la compagnie pharmaceutique au cours des dernières années.
Les bourses européennes étaient quand à elles en hausse modérée, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 0.32%, le CAC 40 français de 0.09%, le DAX 30 allemand de 0.51% et le FTSE 100 britannique de 0.2%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.2%, et le Nikkei 225 japonais de 0.7%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.