Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans tendance tranchée ce mercredi après-midi, dans l'expectative de la divulgation des performances américaines, tandis que le moral demeurait soutenu par la décision prise pas l'agence Moody's de ne pas dégrader son appréciation des dettes espagnoles.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.04%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.1% de pertes.
Le goût du risque est en effet revenu après que l'agence ait confirmé le Baa3 avec une perspective négative attribué à l'Espagne, à seulement un cran au-dessus des investissements spéculatifs, exprimant toutefois sa confiance dans le fait que les réformes mises en place par le gouvernement et le soutien de ses partenaires de la zone euro devraient lui maintenir l'accès aux marchés financiers.
Le taux des obligations décennales nationales est du coup tombé à 5.53% après diffusion de la nouvelle, son plus bas niveau depuis avril.
Le moral avait déjà été tiré vers le haut ces dernières semaines par l'espoir que Madrid ait incessament recours à la bouée de sauvetage qui lui est offerte, mais les inconnues concernant le moment où elle serait déclenchée et de la forme qu'elle prendrait persistaient.
La finance était attendue sur le devant de la scène, alors que la Bank of America s'apprêtait à révéler ses résultats trimestriels après une série de performances en dents de scie dans le secteur, Citigroup et Goldman Sachs ayant donné des signes de renforcement tandis que JP Morgan et Wells Fargo décevaient.
Cela n'a pas empêché la BoA d'engranger 2.85% en pré-ouverture.
ASML était aussi sous les feux de la rampe alors qu'il se disait qu'il avait accepté l'achat de Cymer, son fournisseur crucial d'une technologie optique indispensable pour l'élaboration de la prochaine génération de puces électroniques, dont la taille devrait nettement réduire, pour 2.5 milliards d'USD.
Toujours dans le domaine technologique, Intel a plongé de 3.09 et IBM de 3.92% dans le même temps face aux signes selon lesquels le ralentissement de l'économie mondiale forcerait les entreprises à réduire leurs dépenses informatiques, favorisant les accessoires mobiles comme l'iPhone d'Apple au détriment des ordinateurs de bureau.
Intel a ainsi avoué hier prévoir des marges brutes pour le quatrième trimestre inférieures aux espérances, de même que que les rentrées d'IBM pour le précédent.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter American Express, PepsiCo et US Bancorp, dont les recettes devraient être dévoilées aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.57%, le CAC 40 français de 0.27%, le DAX 30 allemand de 0.15% et le FTSE 100 britannique de 0.49%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 0.99%, et le Nikkei 225 japonais de 1.21%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés, ainsi qu'avec celui des lancements de constructions.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.04%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.1% de pertes.
Le goût du risque est en effet revenu après que l'agence ait confirmé le Baa3 avec une perspective négative attribué à l'Espagne, à seulement un cran au-dessus des investissements spéculatifs, exprimant toutefois sa confiance dans le fait que les réformes mises en place par le gouvernement et le soutien de ses partenaires de la zone euro devraient lui maintenir l'accès aux marchés financiers.
Le taux des obligations décennales nationales est du coup tombé à 5.53% après diffusion de la nouvelle, son plus bas niveau depuis avril.
Le moral avait déjà été tiré vers le haut ces dernières semaines par l'espoir que Madrid ait incessament recours à la bouée de sauvetage qui lui est offerte, mais les inconnues concernant le moment où elle serait déclenchée et de la forme qu'elle prendrait persistaient.
La finance était attendue sur le devant de la scène, alors que la Bank of America s'apprêtait à révéler ses résultats trimestriels après une série de performances en dents de scie dans le secteur, Citigroup et Goldman Sachs ayant donné des signes de renforcement tandis que JP Morgan et Wells Fargo décevaient.
Cela n'a pas empêché la BoA d'engranger 2.85% en pré-ouverture.
ASML était aussi sous les feux de la rampe alors qu'il se disait qu'il avait accepté l'achat de Cymer, son fournisseur crucial d'une technologie optique indispensable pour l'élaboration de la prochaine génération de puces électroniques, dont la taille devrait nettement réduire, pour 2.5 milliards d'USD.
Toujours dans le domaine technologique, Intel a plongé de 3.09 et IBM de 3.92% dans le même temps face aux signes selon lesquels le ralentissement de l'économie mondiale forcerait les entreprises à réduire leurs dépenses informatiques, favorisant les accessoires mobiles comme l'iPhone d'Apple au détriment des ordinateurs de bureau.
Intel a ainsi avoué hier prévoir des marges brutes pour le quatrième trimestre inférieures aux espérances, de même que que les rentrées d'IBM pour le précédent.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter American Express, PepsiCo et US Bancorp, dont les recettes devraient être dévoilées aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.57%, le CAC 40 français de 0.27%, le DAX 30 allemand de 0.15% et le FTSE 100 britannique de 0.49%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 0.99%, et le Nikkei 225 japonais de 1.21%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés, ainsi qu'avec celui des lancements de constructions.