Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture dans direction claire ce mardi après-midi, la nervosité étant palpable à l'approche des résultats que les Etats-Unis feront bientôt connaître, dans le sillage de la déconvenue d'hier sur le front industriel.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,09%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,04%.
Les cours avaient repris du poil de la bête hier, après qu'il ait été montré que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur secondaire avait sombré jusqu'à 49,0, sa pire valeur depuis juin 2009, nettement inférieure aux 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Cette contre-performance est venue étouffer les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'informatique était au premier plan, alors qu'il se disait que Steve Ballmer, directeur général de Microsoft, prévoyait une réorganisation estinée à limiter le nombre de ses unités, mettant l'accent sur ses appareils et ses services.
Ses actions ont du coup grimpé de 0,59% en pré-ouverture.
Les assureurs n'étaient pas en reste, après que l'American International Group, Prudential Financial et une branche de General Electric aient été mis en relief comme présentant des risques potentiels pour le système financier par les autorités nationales, qui pourait bien resserrer sa surv eillance à leur égard.
Le transporteur FedEx, procédant actuellement à une restructuration se montant à 1,7 milliards d'USD, semblait pour sa part désireux d'accélérer le remplacement de 86 de ses avions les plus anciens, gloutons en carburant, afin de réduire ses frais.
Les laboratoires irlandais Elan Corp. faisaient aussi l'actualité, ayant bénéficié d'une décision de justice mettant temporairement un frein à la tentative d'acquisition hostile lancée par Royalty Pharma, se montant à 6,4 milliards d'USD, qu'il estime être "coercitive".
News Corp., l'empire médiatique de Rupert Murdoch, était aussi sous les feux de la rampe, qui semblerait avoir fait appel auprès de la cour d'appel fédérale de la décision d'un tribunal de district permettant à Dish Network de proposer son service AutoHop, permettant d'échapper aux publicités, qu'il accuse de menacer le modèle économique télévisuel.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Dollar General, qui proclamera les résultats de son premier trimestre avant la cloche d'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 avançant de 0,61%, le CAC 40 français de 0,55%, le DAX 30 allemand de 0,51% et le FTSE 100 britannique de 0,64%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong grignotait 0,01%, et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2,05%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur balance commerciale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,09%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,10%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,04%.
Les cours avaient repris du poil de la bête hier, après qu'il ait été montré que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi révélé que son indice des directeurs des achats du secteur secondaire avait sombré jusqu'à 49,0, sa pire valeur depuis juin 2009, nettement inférieure aux 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Cette contre-performance est venue étouffer les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'informatique était au premier plan, alors qu'il se disait que Steve Ballmer, directeur général de Microsoft, prévoyait une réorganisation estinée à limiter le nombre de ses unités, mettant l'accent sur ses appareils et ses services.
Ses actions ont du coup grimpé de 0,59% en pré-ouverture.
Les assureurs n'étaient pas en reste, après que l'American International Group, Prudential Financial et une branche de General Electric aient été mis en relief comme présentant des risques potentiels pour le système financier par les autorités nationales, qui pourait bien resserrer sa surv eillance à leur égard.
Le transporteur FedEx, procédant actuellement à une restructuration se montant à 1,7 milliards d'USD, semblait pour sa part désireux d'accélérer le remplacement de 86 de ses avions les plus anciens, gloutons en carburant, afin de réduire ses frais.
Les laboratoires irlandais Elan Corp. faisaient aussi l'actualité, ayant bénéficié d'une décision de justice mettant temporairement un frein à la tentative d'acquisition hostile lancée par Royalty Pharma, se montant à 6,4 milliards d'USD, qu'il estime être "coercitive".
News Corp., l'empire médiatique de Rupert Murdoch, était aussi sous les feux de la rampe, qui semblerait avoir fait appel auprès de la cour d'appel fédérale de la décision d'un tribunal de district permettant à Dish Network de proposer son service AutoHop, permettant d'échapper aux publicités, qu'il accuse de menacer le modèle économique télévisuel.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Dollar General, qui proclamera les résultats de son premier trimestre avant la cloche d'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 avançant de 0,61%, le CAC 40 français de 0,55%, le DAX 30 allemand de 0,51% et le FTSE 100 britannique de 0,64%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong grignotait 0,01%, et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2,05%.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur balance commerciale.