Publiés ce jeudi après Bourse, les comptes 2015 de Tarkett ont été marqués par une progression de 36% du bénéfice net à 83 millions d'euros.
L'Ebitda ajusté du spécialiste des solutions innovantes de revêtements de sol et de surfaces sportives affiche pour sa part une hausse de 3,7% d'un exercice à l'autre à 285 millions d'euros, tandis que le chiffre d'affaires a crû de 12,4% en données publiées à 2,715 milliards (-0,3% en organique).
Par segments, le recul de 23,9% enregistré dans la division 'CEI, APAC et Amérique latine' à 586,7 millions d'euros (-13,1% en organique) a été plus que compensé par les hausses de respectivement 17,2, 34,7 et 44,5% dans les pôles 'Amérique du Nord', 'EMEA' et 'Sport' (-0,7, +6,7 et +17,2% en organique).
Un dividende de 0,52 euro par action sera proposé à l'Assemblée générale, soit 40% du résultat net.
'Ces résultats démontrent la force de notre modèle équilibré entre plusieurs catégories de produits et différents marchés et géographies. Notre croissance organique et les acquisitions réalisées au cours des 2 dernières années ont permis un rééquilibrage géographique de la profitabilité du Groupe, 80% de l'Ebitda provenant désormais des régions EMEA et Amérique du Nord', a commenté Michel Giannuzzi, président du directoire de Tarkett.
Enfin, s'agissant de ses prévisions, le groupe a indiqué que les régions Amérique du Nord et EMEA, qui représentent désormais 80% de l'activité et de l'Ebitda, devraient continuer à bénéficier du développement des produits modulaires à la fois moquette et vinyle, de même que de la demande soutenue en surfaces sportives. Dans le même temps, les coûts d'achat des matières dérivées du pétrole devraient être favorables et atténuer les effets de la récession dans la CEI, où Tarkett continue à gérer activement les prix de vente et les coûts.
'L'amélioration rapide du levier financier réalisée depuis l'acquisition de Desso nous permettra de continuer à jouer un rôle actif dans la consolidation du secteur', a conclu la société.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'Ebitda ajusté du spécialiste des solutions innovantes de revêtements de sol et de surfaces sportives affiche pour sa part une hausse de 3,7% d'un exercice à l'autre à 285 millions d'euros, tandis que le chiffre d'affaires a crû de 12,4% en données publiées à 2,715 milliards (-0,3% en organique).
Par segments, le recul de 23,9% enregistré dans la division 'CEI, APAC et Amérique latine' à 586,7 millions d'euros (-13,1% en organique) a été plus que compensé par les hausses de respectivement 17,2, 34,7 et 44,5% dans les pôles 'Amérique du Nord', 'EMEA' et 'Sport' (-0,7, +6,7 et +17,2% en organique).
Un dividende de 0,52 euro par action sera proposé à l'Assemblée générale, soit 40% du résultat net.
'Ces résultats démontrent la force de notre modèle équilibré entre plusieurs catégories de produits et différents marchés et géographies. Notre croissance organique et les acquisitions réalisées au cours des 2 dernières années ont permis un rééquilibrage géographique de la profitabilité du Groupe, 80% de l'Ebitda provenant désormais des régions EMEA et Amérique du Nord', a commenté Michel Giannuzzi, président du directoire de Tarkett.
Enfin, s'agissant de ses prévisions, le groupe a indiqué que les régions Amérique du Nord et EMEA, qui représentent désormais 80% de l'activité et de l'Ebitda, devraient continuer à bénéficier du développement des produits modulaires à la fois moquette et vinyle, de même que de la demande soutenue en surfaces sportives. Dans le même temps, les coûts d'achat des matières dérivées du pétrole devraient être favorables et atténuer les effets de la récession dans la CEI, où Tarkett continue à gérer activement les prix de vente et les coûts.
'L'amélioration rapide du levier financier réalisée depuis l'acquisition de Desso nous permettra de continuer à jouer un rôle actif dans la consolidation du secteur', a conclu la société.
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