Investing.com - Les bourses asiatiques étaient largement en berne ce mercredi matin, l'attention se concentrant sur les négociations entre les chefs des groupes parlementaires américains destinées à éviter une crise budgétaire.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 0.9%, l'ASX/200 australien de 0.2% et le Nikkei 225 japonais de 1.2%.
La menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier se situe en effet désormais au premier plan.
Harry Reid, à la tête du groupe majoritaire au sénat, n'a pas rassuré les opérateurs en déclarant hier que "peu d'avancées" avaient eu lieu dans le but de l'éviter.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
Tokyo est retombée de son piédestal de sept mois vers un creux hebdomadaire, les grands noms de l'exportation subissant les encaissements de plus-values.
Son indice vedette avait engrangé 7.5% en deux semaines, les entreprises tournées vers l'extérieur voyant leurs perzspectives de bénéfices encouragées par l'affaiblissement du yen.
Celui-ci demeurait encore sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition, lors des élections législatives du 16 décembre, celui-ci ayant récemment déclaré vouloir que la Banque du Japon adopte une politique monétaire plus agressive.
Les constructeurs automobiles Toyota et Honda ont ainsi laissé échapper respectivement 1.5 et 2%, le fabricant d'appareils photographiques Canon faisant pire avec 3%.
Hong Kong suivait le mouvement, tirée vers le bas par les résultats de la Chine continentale, ayant touché en cours de session son plus bas niveau en quatre ans.
Ces dernières semaines l'ont mise sosu pression, l'amélioration des résultats économiques étouffant l'espoir d'accommodements imminents de la part de la banque centrale.
La finance était parmi les lanternes rouges, la China Construction Bank dérapant de 1.85%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.5% et la Bank of China de 1%.
Sydney subissait de son côté des exploitants en berne face au fléchissement des cours des métaux.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont du coup fondu de 0.6 et 1.9%, tandis que Newcrest Mining, spécialiste de l'or, chutait de 1.8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui assez morose, la propension à l'audace étant sapée par le spectre de la fiscalité d'outre-Atlantique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.35%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.25% et sur le FTSE 100 britannique à 0.15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer aujourd'hui les chiffres des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 0.9%, l'ASX/200 australien de 0.2% et le Nikkei 225 japonais de 1.2%.
La menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier se situe en effet désormais au premier plan.
Harry Reid, à la tête du groupe majoritaire au sénat, n'a pas rassuré les opérateurs en déclarant hier que "peu d'avancées" avaient eu lieu dans le but de l'éviter.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des cinq semaines précédant la date fatidique.
Tokyo est retombée de son piédestal de sept mois vers un creux hebdomadaire, les grands noms de l'exportation subissant les encaissements de plus-values.
Son indice vedette avait engrangé 7.5% en deux semaines, les entreprises tournées vers l'extérieur voyant leurs perzspectives de bénéfices encouragées par l'affaiblissement du yen.
Celui-ci demeurait encore sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition, lors des élections législatives du 16 décembre, celui-ci ayant récemment déclaré vouloir que la Banque du Japon adopte une politique monétaire plus agressive.
Les constructeurs automobiles Toyota et Honda ont ainsi laissé échapper respectivement 1.5 et 2%, le fabricant d'appareils photographiques Canon faisant pire avec 3%.
Hong Kong suivait le mouvement, tirée vers le bas par les résultats de la Chine continentale, ayant touché en cours de session son plus bas niveau en quatre ans.
Ces dernières semaines l'ont mise sosu pression, l'amélioration des résultats économiques étouffant l'espoir d'accommodements imminents de la part de la banque centrale.
La finance était parmi les lanternes rouges, la China Construction Bank dérapant de 1.85%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.5% et la Bank of China de 1%.
Sydney subissait de son côté des exploitants en berne face au fléchissement des cours des métaux.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont du coup fondu de 0.6 et 1.9%, tandis que Newcrest Mining, spécialiste de l'or, chutait de 1.8%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui assez morose, la propension à l'audace étant sapée par le spectre de la fiscalité d'outre-Atlantique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.35%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.25% et sur le FTSE 100 britannique à 0.15%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer aujourd'hui les chiffres des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.