Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme ce mardi matin, les yeux braqués sur l'état des stocks des Etats-Unis afin d'évaluer l'importance du premier appétit de la planète.
Leur offensive demeurait cependant jugulée par le bras de fer politique aux Etats-Unis, et par la paralysie de leurs administrations qu'il a entraîné depuis le premier octobre.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 103,36 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,3%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 102,87 USD, leur cours le plus bas du jour, et 103,40 USD, leur meilleur, alors que la session précédente les avait vus conclure à 103,03 USD, avec un passage à vide de 0,78%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 102,87 USD, leur plancher du 2 octobre, et rencontrer de la résistance à 104,37 USD, leur plafond du lendemain.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une augmentation de 1,8 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Aux Etats-Unis, le président Barack Obama a rappelé hier être disposé à négocier avec les élus républicains sur toutes sortes de sujets, y compris la santé et la politique énergétique, mais pas sous la menace d'une prolongation des mises à pied partielles des fonctionnaires.
Il leur a d'autre part demandé relever le plafond d'endettement national avant la date fatidique du 17 octobre, après laquelle le ministère des finances a estimé qu'une défaillance sans précédent dans leurs remboursements serait difficile à éviter.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, avait assuré dianche que ceux-ci ne voteraient ni la relance des institutions ni l'augmentation de la limite de la dette maximale tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas d'envisager les réductions de dépenses qu'ils exigent.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 0,05% pour grimper à 108,74 USD du baril dans le même temps, soit 6,38 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur offensive demeurait cependant jugulée par le bras de fer politique aux Etats-Unis, et par la paralysie de leurs administrations qu'il a entraîné depuis le premier octobre.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 103,36 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,3%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 102,87 USD, leur cours le plus bas du jour, et 103,40 USD, leur meilleur, alors que la session précédente les avait vus conclure à 103,03 USD, avec un passage à vide de 0,78%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 102,87 USD, leur plancher du 2 octobre, et rencontrer de la résistance à 104,37 USD, leur plafond du lendemain.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer demain une augmentation de 1,8 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Aux Etats-Unis, le président Barack Obama a rappelé hier être disposé à négocier avec les élus républicains sur toutes sortes de sujets, y compris la santé et la politique énergétique, mais pas sous la menace d'une prolongation des mises à pied partielles des fonctionnaires.
Il leur a d'autre part demandé relever le plafond d'endettement national avant la date fatidique du 17 octobre, après laquelle le ministère des finances a estimé qu'une défaillance sans précédent dans leurs remboursements serait difficile à éviter.
John Boehner, chef de file des républicains qui dominent la chambre des représentants, avait assuré dianche que ceux-ci ne voteraient ni la relance des institutions ni l'augmentation de la limite de la dette maximale tant que leurs adversaires démocrates n'accepteraient pas d'envisager les réductions de dépenses qu'ils exigent.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont gagné 0,05% pour grimper à 108,74 USD du baril dans le même temps, soit 6,38 USD de mieux que leurs homologues américaines.