Investing.com - Les options sur l'or ont ocnclu au plus bas des deux semaines écoulées, son attrait en tant que valeur refuge ayant diminué en raison de l'apaisement des craintes au sujet des perspectives économiques mondiales.
Cette tendance baissière s'est accentuée avec la poursuite des ventes techniques pour une seconde journée d'affilée après qu'elles aient échoué à passer un niveau de résistane crucial.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 658.8 USD de l'once à la clôture des échanges, cédant 0.5%.
Les prix avaient plongé en début de journée jusqu'à 1 655.15 USD, leur valeur la plus basse depuis le 11 janvier, laissant échapper 1.5% pour leur pire semaine depuis celle achevée le 23 décembre.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 647.05 USD, leur plancher du 8 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 685.35 USD, leur plafond du 24 décembre.
Le passage à vide de vendredi était le fait d'opérateurs préférant l'euro et les actions plutôt que le métal précieux lors d'une résurgence du goût pour le risque suite à l'éloignement du spectre de la crise de la zone euro.
La monnaie unique s'est alors hissée à son meilleur niveau en 11 mois contre le billet vert, après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé que 278 banques opérant sous sa tutelle comptaient lui rembourser 137.2 milliards d'euros d'emprunts dès la semaine prochaine, laissant espérer un retour des flux de liquidités.
Elle les leur avait accordés afin de les aider à surmonter des problèmes de capitalisation découlant liés à la problématique de la dette.
Cette tendance s'est accentuée après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans les affaires allemandes était remonté depuis 102.4 vers 104.2 pour janvier, dépassant ainsi les 103 espérés.
Des reventes techniques y ont aussi contribué après qu'un seuil de résistance psychologique crucial à 1 700 USD n'ai pu être franchi, déclenchant des ventes automatiques, sur fond de signaux graphiques baissiers.
De nombreux analystes avaient estimé qu'au cas où cete barre ne serait pas dépassée, une retombée vers 1 650 USD serait à redouter, après avoir culminé à 1 696.25 USD le 17 janvier le souffle ayant manqué pour poursuivre l'ascension.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Il en sera de même avec l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée le même jour, de même qu'avec le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi, dans l'espoir d'évaluer la vigueur de leur relance.
Tout signal positif ferait diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service, renforçant du coup le vert, et pesant sur les matières premières libellées avec.
Les cours s'étaient effondrés le 4 janvier à leur niveau le plus faible en quatre mois, après que compte-rendu du conseil de direction effectué le mois dernier par la banque centrale des Etats-Unis ait montré que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Mais ils ont retrouvé le sourire après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait précisé qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, n'évoquant pas l'idée d'un changement de cap.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant l'étalon américain et renforçant au contraire les produits bruts, parmi lesquells le métal jaune figure en bonne place.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs reculé de 1.7% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 31.18 USD de l'once, leur plus basse valeur depuis le 17 janvier, dégringolant de 2.15% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles reculé de 0.5% lors de l'ultime session, pour plonger à 3.658 USD la livre, leur creux le plus profond des six jours écoulés, dérapant de 0.5% au cours de la semaine.
Le métal prisé des industries a toutefois limité les dégâts grĉe à l'attente d'un envol de la reprise de la Chine après qu'il ait été annoncé en début de semaine que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci.
Elle garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Cette tendance baissière s'est accentuée avec la poursuite des ventes techniques pour une seconde journée d'affilée après qu'elles aient échoué à passer un niveau de résistane crucial.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 658.8 USD de l'once à la clôture des échanges, cédant 0.5%.
Les prix avaient plongé en début de journée jusqu'à 1 655.15 USD, leur valeur la plus basse depuis le 11 janvier, laissant échapper 1.5% pour leur pire semaine depuis celle achevée le 23 décembre.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 647.05 USD, leur plancher du 8 janvier, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 685.35 USD, leur plafond du 24 décembre.
Le passage à vide de vendredi était le fait d'opérateurs préférant l'euro et les actions plutôt que le métal précieux lors d'une résurgence du goût pour le risque suite à l'éloignement du spectre de la crise de la zone euro.
La monnaie unique s'est alors hissée à son meilleur niveau en 11 mois contre le billet vert, après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé que 278 banques opérant sous sa tutelle comptaient lui rembourser 137.2 milliards d'euros d'emprunts dès la semaine prochaine, laissant espérer un retour des flux de liquidités.
Elle les leur avait accordés afin de les aider à surmonter des problèmes de capitalisation découlant liés à la problématique de la dette.
Cette tendance s'est accentuée après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans les affaires allemandes était remonté depuis 102.4 vers 104.2 pour janvier, dépassant ainsi les 103 espérés.
Des reventes techniques y ont aussi contribué après qu'un seuil de résistance psychologique crucial à 1 700 USD n'ai pu être franchi, déclenchant des ventes automatiques, sur fond de signaux graphiques baissiers.
De nombreux analystes avaient estimé qu'au cas où cete barre ne serait pas dépassée, une retombée vers 1 650 USD serait à redouter, après avoir culminé à 1 696.25 USD le 17 janvier le souffle ayant manqué pour poursuivre l'ascension.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Il en sera de même avec l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée le même jour, de même qu'avec le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi, dans l'espoir d'évaluer la vigueur de leur relance.
Tout signal positif ferait diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service, renforçant du coup le vert, et pesant sur les matières premières libellées avec.
Les cours s'étaient effondrés le 4 janvier à leur niveau le plus faible en quatre mois, après que compte-rendu du conseil de direction effectué le mois dernier par la banque centrale des Etats-Unis ait montré que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Mais ils ont retrouvé le sourire après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait précisé qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, n'évoquant pas l'idée d'un changement de cap.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant l'étalon américain et renforçant au contraire les produits bruts, parmi lesquells le métal jaune figure en bonne place.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs reculé de 1.7% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 31.18 USD de l'once, leur plus basse valeur depuis le 17 janvier, dégringolant de 2.15% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles reculé de 0.5% lors de l'ultime session, pour plonger à 3.658 USD la livre, leur creux le plus profond des six jours écoulés, dérapant de 0.5% au cours de la semaine.
Le métal prisé des industries a toutefois limité les dégâts grĉe à l'attente d'un envol de la reprise de la Chine après qu'il ait été annoncé en début de semaine que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci.
Elle garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.