Investing.com - La livre sterling a à peine fait mieux que résister au dollar U.S. ce lundi matin, alors que les plus de deux semaines de débrayages récemment subis par les administrations américaines semblaient devoir entraîner une poursuite des apports de capitaux.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6181 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6173, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6080, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,6259, son plafond de neuf mois datant du premier octobre.
Le billet vert était en effet sur la sellette en raison du spectre des conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires des Etats-Unis, qui pourraient encourager la Réserve Fédérale à maintenir le volume de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Leurs résultats économiques de la semaine étaient désormais sous haute surveillance, en raison des retards de publications dûs à la paralysie ayant frappé les autorités, leur département d'état au travail devant publier demain son rapport sur l'emploi hors agriculture qui devait être publié le 4 octobre.
Le site internet immobilier britannique Rightmove a pour sa part mesuré l'addition de plus de 50.000 GBP au prix moyen des logements à Londres d'un mois sur l'autre en octobre, soit une envolée de plus de 10%.
Ceux de l'Angleterre et du Pays de Galles semble cependant s'être contentés de 2,8%.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,14% pour se hisser à 0,8451.
Il était aussi à noter que les coûts de production de l'Allemagne avaient augmenté de 0,3% d'un moins sur l'autre en septembre, au lieu des 0,1% anticipés.
Le spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient quand à eux conclure la journée avec le volume des ventes de logements d'occasion.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6181 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6173, grignotant 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,6080, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,6259, son plafond de neuf mois datant du premier octobre.
Le billet vert était en effet sur la sellette en raison du spectre des conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires des Etats-Unis, qui pourraient encourager la Réserve Fédérale à maintenir le volume de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Leurs résultats économiques de la semaine étaient désormais sous haute surveillance, en raison des retards de publications dûs à la paralysie ayant frappé les autorités, leur département d'état au travail devant publier demain son rapport sur l'emploi hors agriculture qui devait être publié le 4 octobre.
Le site internet immobilier britannique Rightmove a pour sa part mesuré l'addition de plus de 50.000 GBP au prix moyen des logements à Londres d'un mois sur l'autre en octobre, soit une envolée de plus de 10%.
Ceux de l'Angleterre et du Pays de Galles semble cependant s'être contentés de 2,8%.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,14% pour se hisser à 0,8451.
Il était aussi à noter que les coûts de production de l'Allemagne avaient augmenté de 0,3% d'un moins sur l'autre en septembre, au lieu des 0,1% anticipés.
Le spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient quand à eux conclure la journée avec le volume des ventes de logements d'occasion.